vendredi 4 août 2017

Le Dirham attend plus profond pour plonger:

Jouahri tire sa reverence
Avec le départ prochain de l'homme ci-dessus, PDG de Banque du Maroc et l'arrivée probable d'un Parisien à sa place, avec l'endettement excessif (85% du PIB + Nouvelle "offre" empoisonnée du FMI), avec les concentrations accélérées de notre économie, avec l'assassinat de l'artisanat, avec un Ministre des Finances qui remplace le Dirham par le Ghadi (futur proche et hypothétique), on voit mal comment notre Makhzen (pouvoir marocain) s'en sortira à moyen terme. Et même à court terme puisque  l'argentier du Royaume compte sur la pluie, l'an prochain, pour commencer à réduire l'endettement in cha Allah !

Je parie que le Ciel finira par sanctionner les égoïstes qui maintiennent leurs frères et leurs sœurs dans la misère et qui mènent un train de vie supérieur à celui de leurs collègues européens en important absolument et librement tous les besoins de leurs folies, en concrétisant leurs folies de grandeur tel le TGV et les hôtels de luxe... 


Le Ciel ne peut continuer d'accepter cet esclavage que pratique une infime minorité de privilégiés dont les revenus sont parfois des centaines de fois supérieurs à ceux des travailleurs qui n'ont plus qu'à s'abrutir ou à ruminer leur colère...

Se sentant dramatiquement niqué par le système injuste qui vous fait vomir vos études et vos très nombreuses années dans l'enseignement, vous ne pouvez pas ne pas être nihiliste, vous ne pouvez pas continuer à croire en la justice en place, vous ne pouvez pas continuer à croire en toutes les structures du système allant de l'école publique à la conservation foncière... Toutes ces structures héritées des colons sont en train de tomber sous la coupe d'une drôle de modernité à la sauce islamique et à la trame hypocrite...

La corruption et la rente faussent et dénaturent tout semblant d'équité dans la répartition des richesses nationales: Le travail honnête mène à la misère tandis que la corruption, la spéculation, le vol et les détournements des deniers publics conduisent à un enrichissement insolent, béni par le clergé et acclamé par les abrutis !.  

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