mercredi 27 février 2019

Maroc à la dérive: Docteur profiteur antifrançais de façade mais...


C'est le fils du fameux leader Allal El Fassi. Le papa est mort en Roumanie... D'instit il était devenu sacré sidi... Il se ressourçait au Moyen Orient Arabe. Et c'est son parti qui a arabisé et réislamisé notre Ecole publique qu'il a ainsi largement contribué à liquider ... Le fils du grand leader ci-dessus n'est ni instit ni artisan, voyons ! les fils de sidis deviennent des sidis, il est grand et riche toubib de Casablanca...Il a fait toutes ses études en français ET IL A LE CULOT DE TRAITER CEUX QUI AIMENT LA LANGUE FRANÇAISE D'AGENTS DU COLONIALISME !
QUAND ON VIT DANS UN PALAIS D'ANFA ON IGNORE EVIDEMMENT QUE LE COLONIALISME ÉTAIT MEILLEUR QUE LE RÈGNE DES SIDIS HYPER HYPOCRITES !

Idée: Entre le cerveau et le cœur il y a un trou et un cou

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Entre cerveau et cœur, y a un trou, un cou et pas un sou ! N'adorez pas trop le fric ! Ne déifiez pas l'argent ! N'ayez pas une calculatrice à la place du cœur ! Donnez ! Partagez ! Seul Allah n'a pas d'associé ! Alors que vous, trou-du-cul, vous avez intérêt à vous associer ! Mais pas avec le seul Mac Zen, alias Makhzen !

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mardi 26 février 2019

Maroc: Les profiteurs d'injustices ont des langues: rizq, mektoub


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Le couscous à la langue d'âne servi sur des peaux d'âne

Sur cette île de l'archipel du Nikahistan, rien ne va plus ! On continue de jouer à envoyer ses enfants étudier à la Mission française voire dans les écoles américaines tout en défendant becs et ongles l'arabisation à outrance, initiée par nos "nationalistes" agents de l'impérialisme sous-développé arabe et islamique moyen oriental... Dans ce bled donc la langue rejoint la justice économique pour dépendre du rizq et du mektoub... Système escroc par excellence...
Voici un article intéressant sur la question:

Les langues
Par : Abdeslam Seddiki.
On s’attendait à un débat de fond sur le projet de loi-cadre relatif à la réforme de l’éducation formation autour de l’école que nous voulons pour nos générations actuelles et futures et on a eu droit malheureusement à des polémiques stériles et marginales qui escamotent entièrement ce débat. Cette dérive, nous l’avions sentie venir il y a plus d’un an dans un article publié en janvier 2018 en écrivant notamment : « l’essentiel y est : obligation de l’enseignement fondamental à partir du préscolaire, renforcement des langues étrangères aux côtés de nos deux langues nationales dans la perspective de maîtriser quatre langues au niveau de la classe terminale, révision des programmes en les débarrassant des scories rétrogrades et passéistes, valorisation des ressources humaines, restructuration de la recherche scientifique, mobilisation des moyens financiers additionnels, mise en place d’une gouvernance basée sur la transparence, la responsabilité et la redevabilité ….C’est donc une opportunité historique, peut-être la dernière ?, qui nous est offerte pour enfin remédier aux maux qui taraudent notre système éducatif. A chacun de prendre ses responsabilités. Il ne faut surtout pas qu’on continue à perde notre temps à discuter sur le sexe des anges !... »


En focalisant la discussion autour de la langue d’enseignement, avec des arrières pensées conservatrices et passéistes, voire populistes et hypocrites, on cherche délibérément à mettre les bâtons dans les roues de la réforme de notre système éducatif et à perpétuer, par conséquent, le système actuel dont tout le monde déplore le caractère injuste, inéquitable et improductif. Le débat autour des langues n’a pas lieu d’être. Car la question est tranchée définitivement par la loi suprême du pays. La constitution, dans son article 5, tout en reconnaissant l’arabe et l’amazigh comme langues officielles, stipule « l'apprentissage et la maîtrise des langues étrangères les plus utilisées dans le monde, en tant qu'outils de communication, d'intégration et d'interaction avec la société du savoir, et d'ouverture sur les différentes cultures et sur les civilisations contemporaines ».


Le projet de loi-cadre qui a suscité autant de polémiques et de guéguerres ne dit pas autre chose ! Il ne fait que reprendre à la lettre une disposition constitutionnelle.
En effet, à l’heure de la mondialisation et du développement sans précédent des savoirs et connaissances, l’ouverture sur les langues étrangères est plus que jamais un impératif pour tirer profit des acquis de la civilisation humaine et des résultats de la recherche scientifique. Il ne faut pas voir dans la langue plus qu’un outil de travail et un véhicule d’acquisition et de transmission des connaissances. Même la langue nationale s’enrichit à partir des langues étrangères. Et le fait d’enseigner une matière scientifique ou plusieurs au cours du secondaire ne touche en aucune manière à notre identité comme le prétendent d’aucuns. Au contraire, c’est un moyen de préparer l’apprenant à poursuivre ses études supérieures, que ce soit au Maroc ou à l’étranger, avec succès. A titre d’exemple, n’est-il pas utile pour un élève qui envisage de poursuivre des études de médecine d’étudier les SVT ou la chimie en français ou en anglais ? N’est-il pas raisonnable pour un futur ingénieur de télécommunications d’étudier l’informatique ou les statistiques dans une langue autre que l’arabe ? etc… D’ailleurs, notre système a bien fonctionné selon ce schéma pendant des décennies et avec des résultats probants.

Ce faisant, on ne réinventera pas la roue. Tous les pays qui se développent ou qui se sont développés procèdent de la même manière. Avec une dose plus ou moins forte d’ouverture sur les langues étrangères. Pouvons-nous imaginer un professeur de Chaire au Japon spécialiste de la civilisation arabe sans qu’il ne maitrise comme il se doit la langue et la culture arabes ? Tel est l’enjeu de l’utilisation des langues étrangères.


Soyons donc clairs et débattons à visage découvert sur l’avenir de notre école et sa place dans le projet de société qui convient à notre pays à l’heure actuelle. Sommes-nous pour une école publique qui assure une réelle égalité des chances, qui garantit une formation de qualité, une école ouverte sur son environnement (local, national et international), compétitive et attractive, une école qui contribue à l’émancipation de l’esprit et au développement de la créativité, une école qui anticipe le futur pour préparer les enfants d’aujourd’hui à mieux le vivre en leur inculquant les méthodologies scientifiques qui les aident à résoudre les problèmes qui se posent... ?


Telles sont les vraies questions qui se posent à nous aujourd’hui et auxquelles le projet de loi-cadre apporte des réponses, ou tout au moins des esquisses de réponses. Par conséquent, le vrai débat doit porter sur le contenu de l’enseignement, les méthodes pédagogiques employées, les moyens à mettre en œuvre, le statut de l’enseignant et sa place dans la société, la gouvernance du système…
Se focaliser sur les questions linguistiques, somme toute dépassées, serait un moyen de noyer le poisson pour détourner l’opinion publique des vraies problématiques et de servir des desseins non avoués et non avouables ! A-t-on au moins envisagé de consulter les premiers intéressés que sont les élèves et leurs parents ? De grâce, ne ratons pas encore une fois le rendez-vous avec cette opportunité qui nous est offerte. Nous avons perdu suffisamment de temps et de moyens. Arrêtons les dégâts, c’est l’avenir de tout un peuple qui est en jeu.

L'économie insensée en arabe et en darija fabrique des abrutis

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dimanche 24 février 2019

Le droit d'aînesse devient d'ânesse dans le royaume en perdition

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Dans notre royaume, on ne baise plus la main des vieux ! On les baise carrément ! L'imam de service dirait "hata hada nadar" (c'est un point de vue).

On s'attribue tous les droits et tous les morceaux du sacré fromage ! On surévalue son travail et on dévalue celui des autres. Et pour se bricoler une bonne conscience, on donne la charité à ces vieux en ignorant superbement leurs droits ! La charité pour qu'ils crèvent pas ! La générosité pour qu'ils continuent à flotter sur cette mer d'injustices et de partages scandaleusement léonins !

Même pas un geste ! On va dans les hôtels de luxe, on se paye des objets de luxe, on jette le fric par la fenêtre et ont ignore les pauvres vieux mêmes parmi ses proches ! 

Jusque chez les enfants l'ingratitude et le mépris se développent. Hier j'ai assisté à une bagarre entre un père qui a vendu son bien immobilier pour envoyer son fils étudier en Russie. Ivre, ce fils venu voir sa mère, a pratiquement boxé son pauvre papa qui lui reproche d'être tombé amoureux de la vodka...

Tuez donc les vieux au lieu de continuer à les baiser !

Faisant partie de ces victimes du système, je projette, si Allah le veut, de m'immoler par le feu devant ceux qui m'ont baisé car je ne m'en sors plus ! Je ne survis plus que grâce aux aides de Français juifs, chrétiens, agnostiques et athées !Résultat de recherche d'images pour "LES pauvres vieux au Maroc"
Y a pas plus stupide et plus bête singe que celui qui prend toutes les bananes et se met à baiser son pauvre papa ou son pauvre frère ou son pauvre oncle...  (voir Mustapha le délinquant)
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Voici le roman de mon ami Serge Raffy, rédacteur en chef du Nouvel Observateur français...
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samedi 23 février 2019

La prière collective comme arme de conquête territoriale

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Une rue d'Europe coupée par les prieurs ! Alors que les premiers émigrés musulmans mangeaient du porc et buvaient du vin en général, les émigrés d'aujourd'hui exigent en général un menu halal et prient sur la chaussée... Dans mon roman en cours, (Mac Rond au carré mecquois) ces Musulmans finissent par prendre le pouvoir en France... Attendez cette merveilleuse fiction !

Argent et démocratie: Ali Baba le za... des 40 voleurs

Argent et partage: Le nikah fraternel fonctionne bien en Algérie

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Une bande de profiteurs du système basé sur la drogue islamique du peuple, continue de nikaher halal le peuple algérien frère ! Les divers secteurs économiques se concentrent de plus en plus entre les mains d'une minorité de pourris de fric, à leur tête des généraux d'opérette et des chefs de la mafia des corrompus... Je viens de voir la vidéo que m'a envoyée un ami algérien par whatsapp. Elle montre le plus grand hypermarché d'Alger appartenant à un général...
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Dans ce système ce sont les dormeurs qui gagnent le plus face à la misère atroce des travailleurs !
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Islam torturé: Une chikha ex vizira construit de belles phrases



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La femme voilée qui tient le micro était ministre islamiste au Maroc. Elle fut éjectée du gouvernement après qu'elle eusse jeté son mari (et ses enfants) comme une vieille chaussette, pour devenir maîtresse puis femme de son collègue ministre Choubani...
Cette illuminée parle ici de la cohésion de la famille ! Une aberration pure !

Qui est-ce ? - Voici trois Marocaines et un bébé....

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Bien qu'en haillons et presque nues et affamées, les femmes berbères résistent face à leurs conditions de misère et d'appauvrissement ! Elles ne sont pas du tout forcément inférieures aux bourgeoises motorisées, maquillées et connectées !  Au contraire, elles ont souvent des qualités qui font défaut aux friquées ! Les droits humains biaisés les empêchent même de devenir esclaves chez les riches des villes... On essaye de leur faire avaler l'idée que sur cette Terre, elles et leurs hommes sont de trop ! Le peuple de trop !
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jeudi 21 février 2019

Halieutis: Maquereaux dansant, sardines pleurant c'est la vie !

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Je viens d'avoir tout un dossier sur le Salon Halieutis 
ouvert ce 20/02/2019 à Agadir. Demain ou vendredi 
je dirai ce que j'en pense...   Ci dessous un article de 
mon ami Abdeslam Seddiki précédant ministre marocain
et économiste de renom.


Halieutis
Par : Abdeslam Seddiki
Alors que le Maroc dispose d’une côte qui s’étend sur 3500 km, le secteur de la pêche ne représente que 1% de la valeur ajoutée nationale (PIB). C’est un paradoxe réel et non des moindres qui montre que notre potentiel halieutique est loin d’être exploité comme il se doit. En vue de développer le secteur, un plan décennal a vu le jour en 2009, baptisé « halieutis », avec des objectifs chiffrés pour l’horizon 2020 : assurer un PIB annuel de 22 MM DH avec une production en volume de 1,66 million de tonnes, créer 115 000 emplois directs et 510. 000 emplois indirects, réaliser 3,1 MM $ comme chiffre d’affaires à l’export, porter la consommation locale du poisson à 16 kg/hab. et assurer la durabilité de la ressource. Pour ce faire, 16 projets stratégiques ont été prévus et des actions ciblées ont été lancées. Où en sommes-nous aujourd’hui par rapport à ces objectifs ?
Les données disponibles pour 2017, en attendant celles de 2018, nous permettent de conclure que le bilan est globalement positif. Le verre est plein à plus de moitié pour ainsi dire. Ainsi, la production totale a atteint 1,4 MT soit un taux de réalisation de 84% par rapport à l’objectif fixé pour 2020. Au niveau des exportations, le taux de réalisation est de 70,5%. Pour ce qui est de l’emploi, les objectifs ont été apparemment dépassés avec 700 000 emplois directs et indirects, bien qu’on ne distingue pas entre les uns et les autres. Il en est de même de la consommation locale qui n’est pas loin de la moyenne des 16 kg/hab. Celle-ci demeure toutefois insuffisante si on se compare à des pays fortement consommateurs de poisson comme le Japon (33 kg/hab.) ou l’Espagne (27kg/hab.) qui s’approvisionne, faut-il le rappeler, du marché marocain essentiellement. Cette consommation limitée du poisson dans un pays comme le nôtre est due essentiellement à un effet prix, aggravé par les défaillances de la chaîne d’approvisionnement et les disparités manifestes entre les régions du littoral et les régions de l’intérieur. Une autre insuffisance réside dans la transformation de la matière première puisque 40 % des exportations se font à l’état frais, occasionnant ainsi un manque à gagner tant en termes de création de valeur ajoutée qu’en termes d’emplois.
En définitive, ce bilan positif ne doit pas occulter les éléments de faiblesse et les goulots d’étranglement du secteur. D’où la nécessité de revoir la politique suivie pour en faire, à l’avenir, un levier stratégique du nouveau modèle de développement de notre pays et un moyen d’assurer notre sécurité alimentaire. A cet égard, il faut saluer le travail préliminaire que vient de réaliser tout récemment le CESE en publiant un avis sur la question.
Ainsi, le CESE nous invite à dépasser l’approche traditionnelle de la richesse halieutique pour nous inscrire dans une optique nouvelle : celle de l’économie bleue. « Le concept de l’économie bleue, en plus des secteurs maritimes traditionnels tels que la pêche, le tourisme et les activités portuaires, comporte désormais de nouveaux secteurs porteurs de forts potentiels de croissance : aquaculture, écotourisme, bioproduits marins ou biotechnologie, construction navale, etc » est-il dit dans le rapport.
Pour tirer profit du potentiel de son espace maritime, le Maroc devrait, de l’avis du Conseil, se doter d’une stratégie de l’économie bleue selon une approche éco systémique, qui consolide durablement les secteurs productifs traditionnels (pêche, infrastructures portuaires, tourisme…), qui accélère la croissance autour de secteurs émergents (comme l’aquaculture) et qui identifie des secteurs d’avenir, comme notamment les biotechnologies et la gestion des ressources génétiques liées à la biodiversité marine. Une telle stratégie doit intégrer les principes de la durabilité et de la soutenabilité afin de positionner le Maroc dans une économie durable, inclusive, équitable, prospère et intégrée dans les flux d’échanges internationaux.
On regrettera, cependant, que l’auto saisine du Conseil n’ait pas procédé au préalable à un diagnostic de l’existant ne serait-ce que pour avoir un avis émanant d’une institution dont la crédibilité et le sérieux ne sont plus à démontrer.
Espérons, dans tous les cas, que cette réflexion du CESE servira de point de départ à l’élaboration par les pouvoirs publics d’un nouveau plan de développement. Serait-ce un « halieutis bis » ?

dimanche 17 février 2019

Casa: 5000 milliardaires 150 000 mendiants 4 000 000 coureurs

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Casablanca voit se développer la tabaqia al mohalala (les disparités halalisées)
5000 sont milliardaires
150 000 sont mendiants
et 4000 000 courent derrière le fric-dieu !
Et vous parlez de société musulmane !? Mon œil !!! Y a pas plus animal comme société où il faut être soit malin, soit malhonnête soit corrupteur ou corrompu pour réussir !

Maroc: Le nikah scolaire en action. Langue des loups en option


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Pour l'aristocratie qui se reproduit, les enfants du peuple sont des singes !

Comme dans beaucoup de pays africains, au Maroc y a une salade linguistique: Les agents de l'impérialisme arabo islamique moyen oriental veulent nous faire croire et avaler que nous sommes tous des Arabes tout comme nos "frères" d'Arabie ! Amoureux de l'islam, nous sommes prêts à croire ce mensonge et à nous dissoudre dans l'arabité jusqu'à épouser l'arabêtise !

Seulement nous découvrons que ces agents-là nous mènent par le bout du nez: Ils nous nikahent proprement: Ils nous poussent à scolariser nos enfants en arabe et avec beaucoup d'islam alors que eux ils mettent leurs enfants dans les établissements de la Mission française où ils se permettent d'ignorer jusqu'à notre hymne national ! Mieux, le second personnage du gouvernement s'arrange pour faire accoucher sa fille aux USA afin que son petit fils soit américain ! Mieux, les mêmes sidis et les mêmes lallas vont se payer des nationalités étrangères !

Bref, dans ce royaume y a plusieurs langues. Mais celle qui domine est la langue des loups qui se comportent pires que les colons !

L'histoire montre que le Palais avait raison ! Affaire à suivre
انكشفت اللعبة القدرة لحزب الإستقلال والندالة والتعمية
يدافعون عن التعريب كي يدرس ابناؤهم بالمعاهد الراقية والبعثات الأجنبية
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Elles donnent 1,5 milliard et 600 millions et il vole halal !!!

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Deux Marocaines font plus de 2 millions d'euros en dons pour les déshérités, alors que ce triste homme poule-et-tic islamiste continue de collectionner les millions et les biens ! Avec ces commerçants d'islam, cette religion est devenue un cheval de Troie...
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samedi 16 février 2019

Marrakech: Un président au-dessus de toute soupe son

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Décidément le monde universitaire, le nôtre, est bien malade...  A Agadir, deux doyens que je connais très bien ne lisent absolument plus rien... Ils ont attrapé la maladie de collections
des biens matériels...
A Marrakech, c'est le Président de l'Université qui liquide un budget de 14 milliards en une semaine ! Un peu comme ces profs qui habitent en Europe et viennent liquider leur horaire annuel dû (et revu à la baisse) en quelques semaines ! 
Autrement dit, dans ce royaume, il n'y a pas que l'argent qui soit concentré entre des mains égoïstes, il y a aussi le savoir... Seules la malhonnêteté et l'ignorance sont largement partagées...

Marocaine offre un milliard et demi pour école pour pauvres !

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C'est bien ! Mais comment elle a eu autant de fric c'est une autre affaire ! Lorsqu'on sait que dans ce royaume la propriété c'est du vol...

Partagez la banane ! Et Allah en fera pousser à gogo !

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Allah, le très grand, souffre !
Ses microbes sont dans le gouffre !

Certains ont des bananes trop grandes !
D'autres ont zéro banane et des glandes !

Allah dit-on est juste ! Mais où est la justice ?

Algérie: A la recherche de l'émir perdu par la dinmokraty

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Quel que soit le candidat il ne peut être qu'un con-des-dents, un singe qui amuse le peuple durant le pillage et le niquage sur cette île de l'Archipel du Nikahistan qu'est la Radépo.

La Radépo (La République Algérienne Démocratique et Populaire) s'inquiète de ne pas pouvoir s'entendre sur un raiss... Comme si un raiss pouvait être un président élu démocratiquement !... En effet, en arabisant à outrance la Radépo, les moudjahidines ont créé une jamhouria et non une république moderne.
Et la jamhouria c'est un système biaisé car rafistolé fait d'emprunts made in Arabie et occidentaux...