Alors que son appareil plus ou moins malade, lui aussi, de la soif du fric, le chef islamiste de notre gouvernement est allé, le week end passé, à Laayoune. On lui a dit que la sécheresse plus le coronavirus c'est la catastrophe. Il répond que ce que veut Allah se fera ! Pauvre mektoubard !
Arrivés au pouvoir par une démocratie très approximative, les islamistes marocains utilisent les techniques et les procédés des "mécréants" et des athées pour s'assurer la domination du royaume. Ainsi, les mosquées risquent de devenir des casernes et les associations des bataillons... Le malheur c'est que ce train des islamistes se disant lights cache un autre train qui a des idées pires et qui est plus obscurantiste: La secte des Adlistes (de Al Adl Wa Lihsane = Justice et Bienfaisance) et des bandes de salafistes hyper drogués dont les cerveaux sont bloqués au VIIème siècle...
Si l'Etat ne freine pas ces totalitaires, ils feront du royaume la Somalie de l'ouest ! Mais effectivement, le Palais ainsi que toutes les forces de sécurité (armée et polices) échappent à cette pieuvre rampante qui vise à restaurer le vieux califat ! Elle surfe sur l'ignorance du peuple résultant de siècles d'action des mektoubards formant un clergé artificiel aliéné auto enfermé viscéralement raciste et belliqueux...
En même temps, nos illuminés mènent leurs combats contre les arts, contre les femmes et contre les alcools... La semaine passée ils se sont opposés (timidement) à la manif des femmes à Tanger et à Rabat. A El Oualidia, ils manipulent les habitants à manifester contre le commerce légal des alcools tout en tolérant les alcools clandestins et de contre-bande !...
Ci-dessous une citation sur le quadrillage d'une population :
“La peste, c'est le moment où le quadrillage d'une population se fait jusqu'à son point extrême, où rien des communications dangereuses, des communautés confuses, des contacts interdits ne peut plus se produire. Le moment de la peste, c'est celui du quadrillage exhaustif d'une population par un pouvoir politique, dont les ramifications capillaires atteignent sans arrêt le grain des individus eux-mêmes, leur temps, leur habitat, leur localisation, leur corps.”
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