Dans les camps Tindouf, 1 seule bière coûte plus de mille Dinars

 
A droite, en rouge la wilaya de Tindouf où l'Algérie "sœur" entretient des morceaux de tribus nomades désireux de devenir propriétaires de la moitié sud du Maroc ! Autrement dit des êtres qui rêvent de devenir les émirs pleins aux as de l'ouest de l'ouma arabia et islamia ! Ces émirs et ces cheikhs auront les Égyptiens comme serviteurs car les Marocains ne sont pas assez arabes, y en a même qui sont des berbères (chlihates amazighs) et même des Juifs sans honte !

Ah si j'avais un drone à grand rayon d'action, pouvant faire l'aller et retour Agadir-Tindouf, j'y mettrais une caisse de bière pour mon ami R'guibi sahraoui réfugié-prisonnier dans les camps de Tindouf en Algérie où règne un faux marxisme à la sauce islamique.

- Ici, l'alcool est réservé à certains membre du politburo du Polisario... On a fait 1 500 kilomètres, soit 3 000 km aller-retour  pour en acheter à Nouadhibou en Mauritanie. Mais l'armée algérienne a saisi la cargaison avant qu'elle arrive dans les camps de Tindouf ! Les dernières bières et les derniers quarts de mahia ont été vendus plus de mille Dinars algériens (90 à 100 Dh) ! Me dit-il.

D'Agadir à Tindouf, ça fait moins de 400 kilomètres, les drones disponibles ne peuvent pas aller et revenir... Ce fut exactement ce que disait le colonel français (Antoine) commandant la base de Ben Sergao (banlieue sud d'Agadir) en 1934 lorsque l'aéronavale française lui amena cinq avions moitié bois, moitié métal et qui pouvaient faire au maximum 600 km avec une vitesse de 250 km à l'heure (moins que le TGV!)... En 1934 trois endroits échappaient à l'emprise coloniale française au Maroc: Djebel Saghro, entre le Grand Atlas et l'Anti-Atlas,  l'oasis de Tindouf  et la tribu des Idaou Gnidif, ma tribu, au sommet de l'Anti-Atlas, sur le versant nord...
Le colonel français décida, en accord avec ses supérieurs de bombarder le souk djemaa (vendredi) de ma tribu, et d'attendre plusieurs mois avant de lancer l'armée de terre sur Djebel Saghro et ensuite sur Tindouf... Ce n'est pas pour dire que je suis avec la revendication de cette oasis devenue algérienne par la volonté française coloniale. Je privilégie la paix, l'entente et la coopération mutuellement avantageuse à des possessions territoriales ! L'armée française a laissé à Ben Sergao des archives qui certifient ce que j'ai dit...                                                                                                                                  
    
Après la pandémie du Corona, la paix régnera entre l'Algérie et le Maroc et les réfugiés-prisonniers viendront boire la bonne eau des sources de l'Atlas tout comme leurs ancêtres ! On fera ensemble des méchouis bien arrosés où on dansera l'ahwach des chleuhs au son de la musique hassanie !