dimanche 14 octobre 2012

ISLAM ET LIMITATION DES NAISSANCES


Parmi les nouvelles idées que nos islamistes se doivent d'adopter, il y a le planing familial et la limitation des naissances... Si les Salafistes continuent de se mutiplier comme des rats, les autres islamistes regardent, sans réagir, des armées menaçantes de chômeurs, des universités pleines à craquer et des écoles à trois enfants par table de deux...
Persuadés que, comme dit le  saint coran: " Tout être sur terre reçoit sa nourriture du ciel ", ils pratiquent dans ce domaine aussi, une politique de l'autruche. Pire, les progrès sanitaires entrainent une sensible augmentation du nombre des jeunes handicapés physiques et mentaux... Au contraire donc, ils mènent une campagne contre la légalisation de l'avortement.
Prenons trois domaines où les religieux devraient agir: la mendicité, la consommation d'alcool et les naissances. Dans le premier, on voit que le phénomène a plutôt tendance à se développer sensiblement. Dans le second, on lutte contre les alcools "légaux" et on laisse se développer les clandestins.  Dans ce troisième domaine on est aux abonnés absents...



Plus de deux millions de Marocains souffrent de malnutrition, d’après un rapport de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, dans lequel le Maroc est qualifié de plus mauvais élève en Afrique du nord en matière de lutte contre la famine.

Au moment où plusieurs pays à travers le monde ont réussi à réduire le taux de famine et de malnutrition au sein de leurs populations, au Maroc la malnutrition touche encore 5,5% de la population. En Algérie, en Tunisie et en Libye, ce taux est de moins de 5%. Pourtant ces pays ont récemment été secoués par le printemps arabe.
Au Maroc, le taux de la malnutrition, qui a progressé de 0,3% entre 2004 et 2009, est passé de 5,2% en 2007 à 5,5% durant les deux dernières années. Entre 1990 et 1992 ce taux était de 7,1%.
Les experts de la FAO prédisent des manifestations sociales de la faim dans les prochaines années au Maroc, en raison de l’envolée brutale des prix des produits alimentaires de base.
Pour l’économiste marocain Najib Akesbi, les indicateurs des organisations mondiales et des instances onusiennes restent généralistes, ajoutant que les Marocains souffrent en réalité d’un certain mode de nutrition et non de malnutrition.


   MOHAMEDS, PAR PITIE, FAITES JUSTE


   UN AUTRE MOHAMED ET A


   LA RIGUEUR UNE FATIMA ET RIEN DE PLUS



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