vendredi 1 juillet 2016

Le Maroc entre la folie européenne et la porcherie chinoise


Dans ce royaume il vaut mieux aujourd'hui être ignorant jusqu'à ne pas savoir que la terre est ronde, que la vie est courte, qu'on ne peut être heureux dans un océan de malheureux et que le royaume vit une stratification de dangers externes et de bombes internes...

Notre royaume a tout l'air d'un nouveau-né qui ignore d'où il vient et pourquoi il est là. Adossé à ses frères et sœurs arabo-africains, il regarde avec une inquiétude viscérale, trois géants qui mangent et pètent jusqu'au dessus des nuages: l'Oncle Sam à gauche, et devant: la France ex mère avec sa famille et à droite le Dragon asiatique avec une longue barbe en Arabie, une grosse tête au Japon et un gros ventre chinois...

Les trois tirent le jeune royaume chacun de son côté: 

La Chine des camarades tout comme l'Arabie des Wahhabites du Grand Camarade d'En Haut (Allah) le poussent à appliquer la charia à condition que cela soit source de profits...

La vieille ex mère d'en face le pousse à recevoir tous les va-nu-pieds qu'elle refoule, à balayer tout ce qui bouge dans l'océan, à l'emballer et à le lui donner, à consommer sa ferraille civile et militaire pour donner des profits..

L'Oncle Sam de gauche le pousse à respecter les règles du jeu qu'il est amené à jouer avec ses propres démons nés de l'opium: Il le pousse à abdiquer devant la dictature islamiste rampante et donc à donner  des  profits idéologiques sources de profits matériels...

Pareillement à ces menées externes basées sur le profit,  des bombes naissent un peu partout dans le royaume: Ce  sont ces tumeurs consistant à concentrer les richesses nationales entre les mains d'une infime minorité d'individus plus égoïstes les uns que les  autres, notamment quelques femmes richissimes ex patronnes de divers bordels métamorphosées par le fric en hajas, nouvelles "Khadija oumo al mouminine" ...

Dans ce système où la richesse insolente côtoie la misère absolue personne, au bout du compte, n'est vraiment heureux puisque nous sommes au XXIème siècle... 

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