lundi 3 août 2020

Génération numérique, méfiez-vous pour ne pas en faire partie

Rire/génération(s) : caricature sur l'évolution | BTS CGE CFM BTP ...Ce post n'est pas subjectif. Autrement dit le contenu n'est pas mon propre vécu, mais celui de plusieurs autres qui m'ont dit souffrir du mépris des actuels jeunes...


Misérable génération numérique !
Mourir seul est la plus terrible des morts surtout quand on a une famille. Même riche, vous aurez l'impression de tomber dans un puits sans fin. Alors que partir dans la chaleur humaine des proches c'est comme rester puisque l'espèce s'accroche aux idées de relève, de durée et d'éternité !
Jusqu'aux débuts des années 80, les enfants ne comptaient jamais les biens à hériter et les années de vie probables qui restaient à leurs pères. Par contre, actuellement, un enfant d'école primaire apprend dans l'école privée à savoir le prix de sa maison et celui de la berline de papa. 

La plupart des parents de cette époque révolue ignoraient leur date de naissance. Tous vivaient sans trop compter les jours et l'argent. On oubliait forcément de fêter les anniversaires des individus superbement ignorés, mais on n'oubliait jamais les diverses fêtes collectives. Très souvent les enfants vivaient dans l'amour et la fidélité aux parents et aux proches ! Jamais les oncles et les cousins n'étaient ignorés avec un mépris flagrant.
Mais de nos jours cette triste génération numérique rend, par son égoïsme proportionnel à sa richesse, elle rend la mort telle une délivrance et une libération d'un monde où toute l'existence est  aliénée et polluée par le pouvoir du fric, l'adoration du dieu Fric. C'est  un monde où les rapports humains sont sciés par la triste et terrible SCIE (=Société de Consommation Individualiste et Égoïste). 

Ainsi, à cause de notre progrès biaisé, nous vivons dans un monde ou la misère est parfois la seule capable de garder bien au chaud de beaux sentiments humains ! Autrement dit il faut être pauvre pour avoir droit à cette chaleur humaine que la possession de l'argent fait s'évaporer, laissant l'espace à un luxe trompeur.

Dans cette société pourrissante, il y a bien sûr des exceptions ! Mais elles sont rares. Telle une fleur sortie du fumier, ces êtres rarissimes confirment la règle... Je vais citer juste un : Kamal Benjelloun, le fils du richissime magnat des banques Othmane Benjelloun. Il délaissait le palais avec aéroport que papa lui a construit en Andalousie pour côtoyer des gens très pauvres au Maroc et à l'étranger. Il s'est opposé aux actions de son père contre les héritiers de son défunt oncle...



:https://www.edilivre.com/culottes-fatales-et-djihad-du-camembert-said-lemlih.html

Voici mes deux récents romans sortis à Paris. Ci-dessus le dernier paru il y a juste trois semaines et qualifié par Jacqueline Montagnier de "exquise folie" et par Chantal Tronquit de "très belle histoire"...

Quant au précédent, ci-dessous, relatif à un amour de la dernière juive de Demnate (110 km à l'est de Marrakech), il est en vente à la librairie Vice-versa de Jérusalem ouest (Israël). Il m'a permis de gagner la précieuse amitié de plusieurs Marocains juifs devenus des citoyens israéliens. Ils projetaient une action en faveur de Demnate mais la pandémie a tout arrêté !  


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