Vendre légalement les alcools dans cette ville - et peut être dans tout le bled - c'est être à la merci de l'humeur et de l'arbitraire des agents d'autorité !
Bien avant le festival de la tolérance, on a fermé tous les débits légaux de la ville pour laisser le marché, involontairement (?) aux trafiquants et aux producteurs-vendeurs de la mahia clandestine.
Le seul impôt que payent ces hors-la-loi est la corruption versée à toute une panoplie de mokhaznis et de sécuritaires contrairement aux légaux qui sont devenus de véritables vaches à lait en ces temps de vaches maigres ! Le richissime Aziz devrait indemniser ces commerçants pour les pertes subies ! Mais j'oublie que les Chleuhs ne se font pas beaucoup de cadeau entre eux exceptés quelques kalebs (pain de sucre) aux enterrements !
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