Grâce à la persévérance et à la lutte continue du conseil local des oulamas (le clergé musulman), on ne trouve pas d'alcool légal en vente à Taroudant. Il n'y a que les drogues et les alcools clandestins. Les individus qui profitent de ce commerce illicite ne manquent pas de remercier les oulamas indirectement...
Ainsi, la ville de Taroudant défraie la chronique par des viols et des assassinats d'enfants. La mahia (l'eau de vie) clandestine est tellement forte que le buveur peut confondre un enfant avec une chèvre par exemple. C'est ce breuvage à plus de 50° qui a réellement été interdit par l'islam et non de la bière à 5° ou du vin à 10°...
L'interférence des oulamas dans la gestion de cette cité, basée sur une application aveugle des interdits islamiques, ne peut que faire d'autres dégâts collatéraux...
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