PARIS (SIWEL) — Suite à la tension qui a marqué les relations entre l'Algérie et le Maroc, le gouvernement provisoire kabyle en exil, Anavad, estime qu'au-delà de la levée du bouclier de part et d'autre, la demande d'autodétermination est aussi une revendication du Peuple kabyle et de celui de l'Azawad. Sur ce point, il en appelle à l'ONU pour concrétiser ces deux demandes. Siwel publie intégralement la déclaration.
M. Lyazid Abid, Vice-Président de l’Anavad Ministre chargé des Relations Internationales. PH/DR
Algérie-Maroc : Le torchon brûle
La tension est montée d’un cran entre l’Algérie et le Maroc. Au moment où l’on pensait que l’on s’acheminait vers la réconciliation entre les deux voisins, l’Algérie vient de remettre le feu aux poudres avec, dans un premier temps une lettre, signée par un Bouteflika officiellement convalescent, adressée aux « amis du Polisario » réunis à Abuja (Nigéria), puis par une autre déclaration à l’occasion de la journée mondiale de l’ONU dans laquelle le même signataire exige le « droit à l’autodétermination du peuple sahraoui ».
Le Royaume marocain déstabilisé par ces revirements crie au scandale et des voix s’y élèvent pour revendiquer des « territoires marocains spoliés par l'Algérie ».
Cette levée de boucliers de part et d’autre de la frontière algéro-marocaine pourrait n’être motivée que par une aggravation de l’état de santé du dictateur algérien. Ce serait donc les luttes de succession plus que jamais ouvertes qui en seraient à l’origine.
La Kabylie qui appelle les deux parties à la retenue, revendique elle aussi son droit à son autodétermination et entend l’exercer le plus tôt possible dans la paix et la sérénité.
L’Anavad, le Gouvernement Provisoire Kabyle, demande au Conseil de Sécurité de l’ONU de traiter la question du droit à l’autodétermination dans la région sans discrimination entre les peuples qui en sont demandeurs, notamment les Kabyles et les Touaregs de l’Azawad.
Exil le 02/11/2013
Signé, M. Lyazid Abid, Vice-Président de l’Anavad
Ministre chargé des Relations Internationales.
La tension est montée d’un cran entre l’Algérie et le Maroc. Au moment où l’on pensait que l’on s’acheminait vers la réconciliation entre les deux voisins, l’Algérie vient de remettre le feu aux poudres avec, dans un premier temps une lettre, signée par un Bouteflika officiellement convalescent, adressée aux « amis du Polisario » réunis à Abuja (Nigéria), puis par une autre déclaration à l’occasion de la journée mondiale de l’ONU dans laquelle le même signataire exige le « droit à l’autodétermination du peuple sahraoui ».
Le Royaume marocain déstabilisé par ces revirements crie au scandale et des voix s’y élèvent pour revendiquer des « territoires marocains spoliés par l'Algérie ».
Cette levée de boucliers de part et d’autre de la frontière algéro-marocaine pourrait n’être motivée que par une aggravation de l’état de santé du dictateur algérien. Ce serait donc les luttes de succession plus que jamais ouvertes qui en seraient à l’origine.
La Kabylie qui appelle les deux parties à la retenue, revendique elle aussi son droit à son autodétermination et entend l’exercer le plus tôt possible dans la paix et la sérénité.
L’Anavad, le Gouvernement Provisoire Kabyle, demande au Conseil de Sécurité de l’ONU de traiter la question du droit à l’autodétermination dans la région sans discrimination entre les peuples qui en sont demandeurs, notamment les Kabyles et les Touaregs de l’Azawad.
Exil le 02/11/2013
Signé, M. Lyazid Abid, Vice-Président de l’Anavad
Ministre chargé des Relations Internationales.
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