lundi 11 novembre 2013

Algérie/Maroc: Faisons une guerre, mes frères! Contre le blocage



Au jour d'aujourd'hui, le monde entier conjugue la crise multiforme. Or, de tous temps, les crises graves trouvent leurs dénouement dans la guerre. Et comme la vieille Europe ne peut plus en faire pour plusieurs raisons, il revient donc aux Maghrébins de prendre la relève, et de se lancer dans une guerre fratricide et  salvatrice...

Elle a déjà lieu en Libye où les tribus et les sectes islamistes s'affrontent parce que les pauvres s'ennuient. Ils ne peuvent ni s'amuser, ni boire un verre depuis que Abdel Jalil a promis, en baisant le sol, d'appliquer la charia. La dictature de la rue (charia = rue) ou de l'opinion publique au temps de Sidna Mohammed. Autrement dit un anachronisme érigé en système figé. Une redomestiquation des femmes. Un refus de reconnaître le temps qui passe... Une folie.
Ainsi, des marchands attrapent un petit voleur. Ils lui appliquent un grand nombre de coups de fouet. Ils l'exposent sur la place publique et discutent sur la nécessité de lui couper la main comme le stipulait la charia...

Puisque la frontière est bien fermée entre le Maroc et l'Algérie depuis de nombreuses années, il faut que l'un des deux pays frères fonce pour l'ouvrir avec un arsenal militaire qui devrait rouiller mais qui est entretenu comme on entretient un bébé... Par exemple à Ben Guérir.
De toutes façons une guerre entre les deux pays feraient tout au plus autant de victimes que font les routes chez eux. Et on sortira d'un stupide statut quo de voisins qui se regardent en chiens de faïence depuis bientôt 37 ans ! Depuis que le président Houari Boumediène a expulsé manu-militari plus de 45 000 Marocains, en hiver 1975...
Généraux, généreuses, sortez de votre ennui en faisant ce pour quoi vous êtes gracieusement payés par les contribuables du Maroc et d'Algérie, faîtes le coup de feu !
Quant aux Poux-les-à-rien, rien que nos vaillantes Forces Auxiliaires (les merdas), spécialisées dans la chasse aux marchands ambulants, pourraient les faire redevenir de vrais nomades ambulants, et pourraient baisser les rideaux de ce fond de commerce antimarocain sis à Tindouf et qui ressemble à un plat de riz à la cubaine: des bananes frites sur du riz sans épices: la Régie Autonome des Sables du Désert ( la RASD )...

Après la guerre, et sous la pression de la communauté internationale, les deux pays signeront un traité de paix qui reconnaisse que le sahara oriental marocain est devenu définitivement algérien et que le sahara occidental marocain est incontestablement marocain... Et l'Algérie laissera le bétail de Med Abdel Aziz rentrer au bercail... 

Un an après, le conflit autour du Sahara occidental marocain devient un mauvais souvenir qu'on se rappelle sur les tombes de nos martyrs respectifs puisque en arabe 'inssane" (l'homme) est de la même famille que 'nissiane" (oubli)... Et on commencera à construire l'autoroute Agadir-Tindouf en même temps que celle de Ouarzazate-Beni Abbès-Adrar car il faudra gagner le temps perdu...

La guerre? C'est comme recevoir une bouteille sur la tête...Ça réveille! Essayons donc! On aura moins de victimes que sur nos routes...De toutes façons les généraux sont toujours les derniers à mourir...

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