Comme son nom le signifie en langue marocaine (Bouteflika = l'homme à la blessure dans le crâne), notre frère Abdel Aziz (littéralement: l'esclave du Chéri), président de toutes les algéries, a des cauchemars à chacune des occasions marocaines. Ainsi, il attend avec inquiétude le discours du roi Mohamed 6 demain 18 novembre, à l'occasion de la fête de l'indépendance du Maroc...
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