Monsieur Benkirane, vous nous avez promis, lors de votre campagne électorale, de faire croître notre économie de sept pour cent, bien sept comme les sept cieux de la mythologie. Et ensuite, une fois élu, vous avez réduit à cinq, comme les cinq obligations quotidiennes. Quatre mois après, vous avez encore réduit à trois et des poussières. A ce rythme vous atteindrez un pour cent avant l'automne et peut être même zéro en hiver, voire un négatif indéterminé.
Vous nous direz alors que c'est ce que le Tout Puissant a écrit pour nous dans son vaste Livre du Mektoub.
Vos arrières étant métaphysiquement solides et socialement assurées par vos troupes en alerte et qui se mettent en rang cinq fois par jour, vous parviendrez ainsi et aisément à nous faire avaler les couleuvres que vous désirerez.
Vous tardez à prendre des initiatives en conformité avec vos capacités occultes. Organisez par exemple la mendicité qui est en passe de devenir un secteur clé de notre économie au lieu de créer une nouvelle armée d'assistés avec votre utopique projet de faire "profiter les pauvres seuls de la caisse de compensation". Vous pouvez, entre autres, trouver dans cette structuration de la mendicité, une animation propre et conforme à notre identité puisque vous y tenez à cette identité.
Depuis des millénaires, nous sommes un peuple arrêté par l'Océan. Nous avons l'habitude d'être patients et de transformer nos sabres en "sabr"( la patience), sauf, notamment, à l'époque des Corsaires de Salé, il y a 400 ans, nous avons alors bien payé notre manque de patience.
Aujourd'hui, nous demandons la liberté sous toutes ses formes, c'est-à-dire l'élargissement des droits et non des interdits fussent-ils religieux. Nous demandons davantage de justice sociale pour supporter l'austérité et la dure réalité qui se profilent à l'horizon. Nous demandons le droit de boire une bière (pas douze) au soleil. Ce droit que bien plus de 85% des humains ont partout, en Amazonie, en Australie, en Afrique, au Groenland, et ailleurs. Ce droit inaliénable de pouvoir faire un tour dans l'enfer d'Allah (clément et miséricordieux) car le bon sens vous demande de garder "le paradis obligatoire" pour vous...
Les seuls êtres à assister... Mais les islamistes n'aiment généralement pas la gente canine... Problème ardu...
Vous nous direz alors que c'est ce que le Tout Puissant a écrit pour nous dans son vaste Livre du Mektoub.
Vos arrières étant métaphysiquement solides et socialement assurées par vos troupes en alerte et qui se mettent en rang cinq fois par jour, vous parviendrez ainsi et aisément à nous faire avaler les couleuvres que vous désirerez.
Vous tardez à prendre des initiatives en conformité avec vos capacités occultes. Organisez par exemple la mendicité qui est en passe de devenir un secteur clé de notre économie au lieu de créer une nouvelle armée d'assistés avec votre utopique projet de faire "profiter les pauvres seuls de la caisse de compensation". Vous pouvez, entre autres, trouver dans cette structuration de la mendicité, une animation propre et conforme à notre identité puisque vous y tenez à cette identité.
Depuis des millénaires, nous sommes un peuple arrêté par l'Océan. Nous avons l'habitude d'être patients et de transformer nos sabres en "sabr"( la patience), sauf, notamment, à l'époque des Corsaires de Salé, il y a 400 ans, nous avons alors bien payé notre manque de patience.
Aujourd'hui, nous demandons la liberté sous toutes ses formes, c'est-à-dire l'élargissement des droits et non des interdits fussent-ils religieux. Nous demandons davantage de justice sociale pour supporter l'austérité et la dure réalité qui se profilent à l'horizon. Nous demandons le droit de boire une bière (pas douze) au soleil. Ce droit que bien plus de 85% des humains ont partout, en Amazonie, en Australie, en Afrique, au Groenland, et ailleurs. Ce droit inaliénable de pouvoir faire un tour dans l'enfer d'Allah (clément et miséricordieux) car le bon sens vous demande de garder "le paradis obligatoire" pour vous...
Les seuls êtres à assister... Mais les islamistes n'aiment généralement pas la gente canine... Problème ardu...
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