FOLIE ISLAMISTE DE KABOUL A KECH EN PASSANT PAR TUNIS.

A cause d'une exposition de tableaux artistiques à Tunis, et surtout à cause de la peinture ci-dessus à droite, les fous d'Allah de Tunisie ont commencé par tout casser. L'auteur du tableau a omis de peindre un signe qui indique que ce barbu qui pète le feu  par les oreilles est un religieux juif. S'il l'avait fait, il n'y aurait pas, en Tunisie, ces morts et ces centaines de blessés et de très importants dégâts matériels pour une image! Des salafistes riches auraient même pu acquérir le tableau représentant l'ennemi juif viscéral et séculaire. S'il l'avait fait le juif aurait été une sorte de catharsis habituelle.

Paragraphe autocensuré après une menace proférée par un salafiste...

Le plus inquiétant c'est que cette épidémie de salafisme se répand partout, et chez nous aussi, comme le choléra, il y a deux ou trois siècles... A Marrakech, par exemple, la maladie est en train de réduire des fêtes familiales à des caricatures religieuses audio et très sexistes à la manière des talibans afghans. Le voile noir tombe de plus en plus sur les visages des femmes...
Est-ce la maladie infantile de l'islam? Est-ce le début d'une ère décadente ici et glacière là-bas?
A défaut de pouvoir sauver les esprits, il est temps de penser à endiguer l'épidémie, au moins pour sauver les meubles... Satan semble avoir pris un congé face à un Saint Esprit qui voudrait devenir réellement absolu et vraiment inquisiteur. Un Saint Esprit qui voudrait institutionnaliser un paradis obligatoire...
Une solution urgente: Encourager tout ce qui bouscule les idées bornées des extrémistes juifs, chrétiens et musulmans. Il faut promouvoir la lecture libre et tous les interdits religieux exclusifs tels les arts dérangeants, les nus dérangeants, la mixité, et la prétendue "mère de toutes les bêtises" qu'est l'alcool...Il faut saluer les Chinois mangeurs du porc et hors catégorie de "Gens du Livre". La guérison de cette maladie passe par une égalité totale entre homme et femme y compris dans l'héritage où elle - éternelle mineure - est réduite à moins d'un demi homme. Parallèlement il faut bien répéter et montrer que l'époque du Prophète d'il y a 14 siècles est bien différente de celle d'aujourd'hui. Et que réduire la dynamique révolutionnaire de l'islam à l'époque du Prophète en une statique et figée Charia, revient à mépriser, à la fois ce même Prophète et son message...