samedi 9 juin 2012

LES SARKOZY: TOUT EST DONC BIEN QUI FINIT BIEN !

                                      <strong>Digne sortie.</strong> Nicolas Sarkozy a quitté mardi le palais de l'Élysée après avoir passé ses pouvoirs au socialiste François Hollande. Après l'entretien en tête à tête, le président sortant, main dans la main avec son épouse Carla Bruni-Sarkozy, a descendu le tapis rouge jusqu'à la voiture à bord de laquelle il a quitté la cour d'honneur du palais présidentiel. François Hollande l'a accompagné jusqu'au perron en compagnie de la nouvelle Première dame de France Valérie Trierweiler. Les deux hommes se sont alors serrés la main et les deux femmes se sont embrassées avant de se quitter. Puis Nicolas Sarkozy a salué de la main journalistes, collaborateurs de l'Élysée et gardes républicains massés dans la cour d'honneur. Peu avant 11h, le véhicule dans lequel avaient pris place M. Sarkozy et son épouse est arrivé à leur domicile du XVIe arrondissement. Des supporteurs du président sortant brandissant des drapeaux tricolores attendaient le couple dans leur rue.
Madame et Monsieur Sarkozy, le précédent président de la République Française, au cas où vous l'aurez déjà oublié, seraient sur le point d'acquérir une somptueuse villa de 1 500 m2 à Marrakech dont voici, ci-dessous, la photographie... Ainsi donc à bien y penser les Français ont plutôt fait un beau cadeau à Sarko en ne votant pas pour lui en ces temps d'une crise dont on ne voit pas le bout du tunnel. Un nœud économico-socialo-culturel que les divinités de la finance internationale ont décidé de tresser par ennui.
C'est d'ailleurs écrit dans le saint coran: "gare à ce que vous détestiez du Bien et gare à ce que vous aimiez du Mal, et seul Allah sait" ( traduction approximative)...
On croyait que Monsieur le président français sortant n'avait que tout juste de quoi se payer les dix voitures du parc auto de son ex-homologue sénégalais Abdoulay Wad, lui aussi mis au placard, malgré lui, à 85 ans et qui penserait, lui aussi finir ses jours à Kech.
Mais les présidents des illustres démocraties ont, eux aussi, des voies impénétrables...
M. Sarkozy a oublié de tirer la langue à ses millions de détracteurs qui se sont payés sa tête gratuitement...

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