mardi 21 août 2018

Economie: Le Dirham s'apprécie quand le peuple déprécie

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Face à des ouvriers plus voleurs que travailleurs, on assiste à un assassinat de l'artisanat. On assassine aussi la confiance qui régnait dans nos souks avant l'arrivée du capitalisme sauvage à la sauce islamique. Ainsi tout vendeur de moutons doit surveiller ses bêtes sinon elles vont s'envoler...

Sans avoir fait de grandes études économiques, on peut trouver tout seul la règle de la santé de notre Dirham qui s'est apprécié de presque un pour cent la semaine passée, la veille de l'actuelle semaine zéro !

Plus le peuple est serré, mieux c'est pour le Dirham ! Car en tant que saleté, l'argent est l'ennemi du peuple qui court derrière lui en vain ! Il court à pieds, à vélo sur des animaux, avec des charrettes... Alors qu'une minorité court avec des bolides et même des jets privés !

Dans cette course folle au diniro, le commerce des moutons occupe une place de choix: Sans un seul centime de taxe, les commerçants s'en mettent plein les poches ! 

Nous sommes donc devant un vrai paradis fiscal !

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