Après avoir fait des partis politiques de simples coteries ou des sociétés anonymes à associés bien déterminés, le système constitue des majliss (assemblées) pour représenter normalement ceux qui les ont élus. Or, ces majliss ont une tendance naturelle à représenter les intérêts de celui qui les paye en général généreusement ! Le président du majliss devient un raïs et un honorable sidi qui n'est point égal aux autres élus de l'assemblée...
Petit à petit le royaume va se retrouver avec des structures aux vitrines modernes et aux fonds archaïques. Ni l'intellectuel, ni l'émotionnel, ni l'animal n'y aura sa place. Les élus étant quasiment anoblis par l'argent face à des multitudes de courtisans forcément appauvris et passablement abrutis. C'est comme si vous preniez dans une basse cour quelques coqs et vous leur mettiez un costume de paon. Ça trompera quelques poules aveugles mais pas plus...
Ci-dessus le lien pour mon dernier roman sorti à Paris il y a juste trois semaines...
Et ci-dessous mon précédent roman sorti aussi à Paris
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