Avec un "leader syndicaliste" qui instaure la pratique du baise-main, il ne peut pas être surprenant de voir les syndicats devenir des mafia avec une coloration locale. Gageons que ce genre de personnage ne quittera son poste qu'au prix d'un drame. Car le "sicritire génénare" c'est à vie qu'on le devient.
Voilà du syndicalisme sans démocratie et sans liberté. Il est d'ailleurs réduit, globalement, à moins de cinq pour cent des travailleurs pour l'ensemble des syndicats de plus en plus nombreux comme des boutiques d'un souk....
Et dire que ce personnage, qui éprouve ici et visiblement du plaisir à se faire baiser la main, essaie de devenir "premier secrétaire du vieux parti de l'Istiqlal" ( parti de l'Indépendance ) à la place d'un toubib,au moins bien élevé car descendant du fondateur du Parti... Nous allons vite vers la restauration des vieilles habitudes de nos ancêtres, celles-là mêmes qui caractérisaient notre éloquent sous-développement...
Et, quand on n'arrive pas à bien éduquer ses propres enfants - qui seraient des délinquants notoires- on ne peut réussir dans la pédagogie moderne qui consiste pour tout militant responsable à éduquer vite une relève, et à faciliter sa prise des responsabilités, pour se retirer lorsque on l'a assez vu et entendu...
Chez nous, en effet, beaucoup de gens militent pour accéder au statut de notable. Un statut auquel ils continuent de s'accrocher jusqu'à ce que la mort les en sépare... Ce qui est malsain pour le pays.
Chez nous, en effet, beaucoup de gens militent pour accéder au statut de notable. Un statut auquel ils continuent de s'accrocher jusqu'à ce que la mort les en sépare... Ce qui est malsain pour le pays.
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