Le premier danger, et l'ennemi numéro un des humains n'est ni la nature, ni les actions de certains individus ou groupes humains mais dans la destruction d'une cellule fondamentale dans notre société. Cette destruction dans un environnement individualiste et égoïste est terrible. L'être humain ressemble à un animal domestique qui n'a jamais quitté la maison de ses maitres et qu'on jette subitement dans la jungle.
En effet, la destruction de la famille fait des progrès. Le capitalisme sauvage à la sauce islamique rend des gens les plus dynamiques comme des machines à faire des sous. Leur "travail" consiste à jouer, à embrasser et à coucher avec le capital. Celui-ci est vertical alors que le travail est horizontal. Tel un pieu, il leur rentre par le derrière et leur ressort par la tête après l'avoir aliénée et intoxiquée.
Fatalement, les individus produits par ce système voient leurs familles partir en morceaux. Dans leurs palais aussi grands que leurs cœurs sont petits, les nouvelles technologies et les drogues tentent d'atténuer leur solitude. En vain car l'homme est un animal social. Et la cellule familiale est fondamentale. Sa destruction donne naissance à des malades mentaux qui roulent sur l'or tout seuls en souffrant.
De nouvelles espèces de malades apparaissent: Des très riches qui sont jaloux des pauvres, des musulmans qui vont passer la fête du mouton seuls à l'hôtel et d'autres qui vont n fois à la Mecque pour laver leurs innombrables et permanents péchés, des parents qui rêvent et attendent que leurs enfants soient comme eux ils ont été. Franz Kafka écrit :" Les parents qui attendent de la reconnaissance de leurs enfants sont comme ces usuriers qui risquent volontiers le capital pour toucher les intérêts."
( à suivre )
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