Derrière cet arbre, il y avait le petit marché de l'Etat major où il y avait à partir de 1955 un fond de commerce de mon père consistant en une épicerie très achalandée avec divers produits dont des alcools et une grande panoplie de diverses boîtes de conserve...
63 ans après il ne reste plus que cet arbre rescapé qui chante sa douleur. La douleur que tout se perd, que tout se transforme !
(voir mon roman intitulé:
Culottes fatales et torture du camembert)
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