Face à ce gaspillage provocateur de nos trop riches, la solution c'est de ne plus exporter ! Sur le plan de nos échanges avec l'étranger, nous ne sommes pas loin de la situation du début du XXème siècle lorsque le sultan adolescent Moulay Abdel Aziz s'amusait avec des objets importés !
Il faut être un âne pour continuer à travailler pour des animaux individualistes et égoïstes gonflés de de tous les excès, je-m’en-foutistes, malades des apparences, et pratiquant le chiqué
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