dimanche 8 mars 2015

Haram: Daech joue avec la poudre et oublie les épées et les sabres

GUERRE SANS FIN. Des volontaires de la milice kurde des Unités de protection populaire (YPG) arrosent au canon antiaérien les positions de l'Etat islamique concentrées autour de la ville syrienne Tell Tamer, le 25 février dernier, dans le nord-est du pays. Depuis le début de l'année, les combattants kurdes ont entamé une puissante contre-offensive pour essayer de couper le ravitaillement des fous d'Allah qui, au nom de l'islam, assassinent, pillent et ravagent une vaste région entre l'Irak et la Syrie. Les derniers faits d'armes en date de ces fanatiques ? L'enlèvement de plus de 200 chrétiens assyriens et la lamentable destruction des trésors d'art antique du musée de Mossoul, la grande ville du nord de l'Irak tombée entre leurs mains en juin dernier.

OFFENSIVE. Les forces gouvernementales irakiennes tentent depuis plusieurs jours d'encercler les jihadistes du groupe Etat islamique dans la province de Salaheddine, en coupant notamment leurs lignes d'approvisionnement. L'objectif : reprendre cette ville stratégique et empêcher l'Etat islamique de commettre des attaques.
Le cinéma dramatique de l'Etat Islamique continue de faire des dégâts... Mais tout le monde passe sous silence les identités de ceux qui ont armé ces bandes sauvages, ceux qui continuent de les armer, de leur acheter du pétrole irakien ou syrien volé... Le rôle de la Turquie islamiste est on ne peut plus condamnable...
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