Islam: Nécessité d'un Allah infini et non plus seulement grand !

Tout récemment, les recherches cosmiques ont abouti à un résultat capital pour l'existence et donc pour la métaphysique: on sait, à présent et grâce à des mesures certaines, que notre univers n'est pas seulement grand, très, très grand, plus de 20 milliards d'années lumière, mais il est INFINI... Autrement dit, il n'y a pas sept cieux comme dans la mythologie... Et très probablement, il y a donc une infinité d'autres planètes terres...

Reprenons les 99 noms d'Allah. Il n'y a ni "Infini" dans la grandeur ni "infini" dans la petitesse... La raison évidente est que au VII ème siècle, l'idée de l'infini était inconnue...

Aujourd'hui, si nos savants et nos imams étaient conscients de ce caractère illimité du Créateur, ils crieraient moins qu'il est "grand" et ils ajouteraient un 100ème nom à Allah : "Amour"... Ils inciteraient tous les musulmans à prier, rien qu'une fois par semaine, lors de la prière collective du vendredi, prier pour TOUS LES HUMAINS qu'ils soient chrétiens, juifs, bouddhistes, abrahamistes, animistes, croyants ou athées...

Le jour où l'on entendra cette généreuse prière dans les mosquées, ce jour-là, on pourra dire que les musulmans sont guéris de leur djihadisme nombriliste maladif et agressif !...

En attendant, nos Musulmans continuent après 1 400 ans d'avoir la même représentation figée d'Allah : Un Etre plus proche d'un empereur byzantin que d'un insaisissable Infini... La relation avec cet allah continue de se confondre avec la crainte (=attakwa), la peur... Une peur camouflée et annulée par le fait que ce même allah craint est Clément et Miséricordieux !...

Ici aussi la chrétienté a bien évolué en basant le rapport avec le Créateur sur l'Amour et non sur la crainte...

Intelligent, Mohamed avait bien rejeté l'idée du clergé en islam. Or, après la mort du grand homme, son message et ses enseignements tombèrent entre les mains d'un réel et affreux clergé...

"L'Etat Islamique" explicite une pensée implicite largement répandue: Le mariage de la décadence avec les $...