dimanche 27 novembre 2022
Le Maroc bat la Belgique à la Coupe du monde au Qatar
samedi 19 novembre 2022
Israël et l'alcool marquent des buts et le Qatar paye 220 MM de $
mercredi 16 novembre 2022
Marocain le plus indésirable en France expulsé par la Belgique
La France a absolument le droit et le devoir d'expulser ce genre d'illuminé malade et porteur d'une idéologie plus ou moins fasciste et parfaitement totalitaire, une idéologie ennemie de la République et de ses valeurs !
mardi 15 novembre 2022
L'armée marocaine tue 4 terroristes racistes et antisémites
Il y a quelques heures un drone de l'armée marocaine (les FAR) a éliminé une bande de terroristes du Polisario. Partie de Tindouf (Sud ouest de l'Algérie), la bande était à bord d'un 4x4. Dans la région de Mahbès, elle s'est rapprochée du mur de défense marocain. Elle s'est mise à faire son baroud d'honneur en tirant vers l'ouest des obus dont le prix est l'équivalent de camions de lait dont manquent cruellement les enfants d'Algérie ! Le drone des FAR est intervenu. Parmi les morts il y a un caïd de ces bandits formés, logés, nourris et armés par la bande militaire qui pille l'Algérie ! Alger va-t-il comprendre que ses investissements sont une pure perte ?
lundi 14 novembre 2022
Dans quelques heures nous serons 8 milliards d'humains
AMC World: La mégalomanie Titanic arrive au Qatar. Feu Titanic
dimanche 13 novembre 2022
Les Arabes en Israël sont les plus libres du Moyen Orient
L'éducation des filles refusée par le clergé afghan (les Talibans)
L'ennemi du Maroc éliminé aux USA, Alger est ses petits pleurent
samedi 12 novembre 2022
La folie du Qatar: 220 milliards de Dollars pour le foot
A présent une tribu de bédouins formant l'émirat du Qatar est championne de la pollution ! Une pollution qui empoisonne notre Terre ! Grâce aux larmes sales de notre mère, cette tribu croule sous des montagnes d'or. C'est au Qatar qu'on trouve des très riches devenus complètement abrutis par leur argent ! Ils achètent les plus chères voitures, par exemple, font quelques kilomètres avec elles puis les enferment au garage ! Ces Bédouins excessivement enrichis, veulent répandre, avec leurs médias, un islamisme belliqueux...
Mais c'est leur folie d'organiser l'actuelle coupe du monde de foot ball qui dépasse l'entendement: Depuis sa création ce championnat international n'a jamais vu une telle diarrhée monumentale de Dollars. Le Qatar a multiplié par dix le précédent budget consacré à cette coupe ! Il l'a passé à 220 milliards de Dollars ! Vous me direz que c'est un investissement qui va rapporter. Je vous dirais que évidemment ça va rapporter quelques milliards de Dollars. Mais si cette montagne de fric avait été consacrée, par exemple, à l'éducation dans les pays "arabes", les bénéfices aurait été infiniment supérieurs de tous points de vue à une accumulation de Dollars !
Cependant, bravo le Qatar, pour les relations établies avec Israël, un Etat qui était perçu comme le diable à abattre. Ces relations ont vu le jour à l'occasion de cette coupe !
Au premier congrès du PPS (1974) un seul musulman priait
Sur 300 congressistes au premier congrès du nouveau parti du Progrès et du Socialisme (PPS), héritier du Parti Communiste Marocain qui adhérait à la Troisième Internationale (Komintern). (1974) un seul priait derrière la salle municipale de l'avenue des FAR à Casablanca ! C'était le camarade El Madi, fameux résistant du Tadla âgé de plus de 70 ans ! Les congressistes de plus de 60 ans étaient très rares !
Mais 40 ans après, c'est le secrétaire général devenu ministre qui allait faire son pèlerinage ! Et à l'actuel congrès (les 11,12, et 13 novembre 2022) le même dirigeant est obligé de ne plus boire en public et de raconter qu'il ne boit plus et même qu'il fait ses cinq prières quotidiennes pour avoir un troisième mandat ! Il a bien une retraite de 20 fois le SMIG et beaucoup d'autres fruits de la rente du Makhzen. Par exemple un agrément de taxi qui roule à Agadir ! Mais c'est un bon négociateur !
Ainsi si la mafia russe héritière de l'URSS s'est allié aux islamistes tchétchènes, aux Maroc les communistes se sont alliés aux islamistes car que l'on soit communiste ou héritier ont cherche Dieu ! Une praxis visqueuse... Et je continue de croire que si Vladimir Oulianov Lénine avait suivi la proposition du philosophe Boulganov et créé un dieu pour le prolétariat, l'URSS durerait et le communisme soviétique battrait l'islam !
En effet, Dieu est comme l'ensemble Z négatif en algèbre. C'est un Grand Mensonge nécessaire. C'est l'Infini que notre cerveau ne peut même pas imaginer ! Alors, il fabrique un Créateur artisanal et sur mesure à partir d'indices approximatifs et abracadabrants !
Le parti n'étant pas celui d'Allah, je voudrais qu'il soit plus réaliste : Dénoncer les concentrations cancéreuses des richesses et des moyens de les produire ! Démasquer un système où tout le monde ou presque, est victime: Des victimes positives trop riches et écrasées par le fric et des victimes négatives trop pauvres pour être considérées comme des citoyens ! Mais, au fait l'idée même de citoyen tarde à remplacer celle de "sidi" et on désigne les camarades élus de "caïds"... Et les touches de modernité disparaissent dans un archaïsme borné et figé...
vendredi 11 novembre 2022
Les 2 terroristes racistes, antisémites se rencontrent
jeudi 10 novembre 2022
Tentative de corruption d'Allah avec plus de 100 millions d'Euros
mercredi 9 novembre 2022
Attention: riches ou pauvres, votre bilan terminal est le même
Un thé marocain au bord de la mer Rouge pour les fous d'Alger
mardi 8 novembre 2022
Le caporal Chengriha dit au président algérien de rentrer à Alger
samedi 5 novembre 2022
Du commerce d'alcools à Marrakech, à la guerre sainte en Israel
Au début de la seconde moitié du siècle passé, son père était un marchand en gros et demi-gros d'alcool à Marrakech. J'accompagnais feu mon père chez lui. Il achetait les whiskies, le pastis et autres spiritueux pour l'épicerie qu'il venait d'ouvrir après son retour de France.
Le jeune Juif de Marrakech a émigré en Israël avec toute sa famille dans les années soixante. Celle-ci a très bien réussi dans la terre sainte: Elle donna deux ministres à l'Etat d'Israël et même un religieux. Celui-ci est derrière ou il a joué un grand rôle dans le bon score obtenu par les partis Shas (parti religieux séfarade) et Judaïsme unifié de la Torah (parti religieux ashkénaze) avec leurs 20 sièges à la Knesset !
Mais cette droite est certes méchante contre ceux qui la provoquent, la menace et l'attaquent mais elle refuse la restauration de l'esclavage entre autres en payant bien les travailleurs y compris les étrangers. Contrairement aux salaires pratiqués dans les Etats arabes y compris les très riches.
Israël a été bâti par une alliance des forces de la gauche laïque avec les droites religieuses. La shoah a ouvert les yeux aux Juifs du monde entier. La majorité d'entre eux a soutenu la minorité juive de Palestine que les dirigeants arabes tels le mufti Al Hoceini( (le plus nazi des Arabes) de Jérusalem puis le premier dirigeant de l'OLP, Chokairi, voulaient "jeter à la mer". Ce Palestinien a répété cela même lorsqu'il passait la direction du mouvement à Yasser Arafat ! Les Juifs ont créé le seul Etat démocratique au Moyen Orient où la peine de mort est abolie et où on lit beaucoup et où on travaille plus.
Bref, le récent succès de l'extrême droite israélienne, ne doit pas faire oublier que les droites et les extrêmes droites dans le monde sont encore plus variées que les gauches et les extrêmes gauches. Ainsi, les plus extrémistes israéliens sont moins méchants que leurs homologues iraniens ! D'ailleurs le chef du parti Shas est un séfarade qui s'appelle Aryeh Dari, ce qui signifie en marocain "Enfant ! Arrête !"... Le seul djihad halal et cacher (Mitsva) que je lui conseille c'est le djihad sexuel produisant plus de petits juifs car les Arabes autour d'Israël ne chôment pas surtout à Gaza ! «Tu ne répandras pas ta semence en vain» disent les Ecritures Saintes.
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Ci-dessous mes deux romans sortis à Paris et disponibles en ebook, en papier, chez les éditeurs, chez Amazon, à la Fnac, à la librairie Vice-Versa de Jérusalem (Israël):
jeudi 3 novembre 2022
Echange télé entre le Roi Mohamed 6 et Emmanuel Macron
mardi 1 novembre 2022
Alger: Un sommet où on ne travaille pas, sommet-café
Alcool au sommet d'Alger: La cuite qui a sauvé la France
Maroc: Le PLF pour 2023 par Abdeslam Seddiki
Ci-dessous un bel article de Abdeslam Seddiki, docteur en économie et ex ministre de l'emploi et des affaires sociales du royaume du Maroc
Nous avions dans notre chronique précédente montré la vulnérabilité des finances de l’Etat, en ce sens que les recettes ordinaires ne couvrent pas les dépenses ordinaires donnant ainsi lieu à une épargne publique négative et, par voie de conséquence, à un recours excessif à l’endettement.
Ce qui n’est pas sans danger pour une résilience durable de nos finances publiques. Cependant, il faut bien relever que ce PLF comporte une série de mesures positives qui ont été rappelées par le Chef du Gouvernement lors de son intervention devant la Chambre des Représentants la semaine dernière dans le cadre de l’article 100 de la constitution et avant lui par la Ministre de l’Economie et des finances lors de la présentation du PLF devant les deux chambres du parlement.
Sans présenter le listing exhaustif de ces mesures, on rappellera : l’augmentation du budget de la santé de 20%, soit 4,6 MM DH ; l’augmentation du budget de l’éducation nationale de 10 % , soit 6,5MMDH pour le porter à 69 MMDH ; le maintien, pour au moins l’année 2023 de la caisse de compensation en lui affectant une dotation de 26 MM DH destinée au soutien des trois produits à savoir le gaz butane, le pain du blé tendre et le sucre ; l’accroissement « conséquent » de l’investissement public d’un montant de 55 MM DH en une seule année passant de 245 MM DH à 300 MMDH, soit un taux de 22,4% ; l’exonération des droits d’importation sur un certain nombre de médicaments destinés au traitement des affections de longue durée… Tout cela mérite d’être souligné.
Le souhaitable et le possible
Cependant, une analyse attentive des chiffres nous conduit à relativiser. Car, comme on le sait, les statistiques ont ce pouvoir magique : ce qu’elles cachent est beaucoup plus important que ce qu’elles montrent. D’autant plus que ce qui est réalisé correspond rarement à ce qui est prévu et ceci pour une raison simple : alors que les prévisions se font sur la base des hypothèses, les réalisations dépendent des moyens disponibles effectivement. C’est la différence entre le souhaitable et le possible. Par conséquent, les chiffres, malgré leur importance, ne traduisent que partiellement la réalité sur le terrain.
Prenons par exemple le secteur de la santé, l’augmentation de l’enveloppe qui lui est accordée ne va pas permettre, à elle seule, la mise à niveau de ce secteur pour pouvoir répondre aux besoins de toute la population nécessitant des soins dans une structure hospitalière publique. D’ailleurs le budget de la santé, avec l’augmentation prévue, atteindrait à peine 7% du budget général de l’Etat et 2% du PIB, ce qui nous place encore loin des normes de l’OMS et de la moyenne des pays comparateurs. Rien que le besoin en ressources humaines dans le secteur public, il est estimé, officiellement, à 12 000 médecins et 50 000 infirmiers. Par conséquent, les 5500 postes budgétaires accordés au Ministère de la santé et de la protection sociale, ne sont pas négligeables certes, mais ils représentent moins de 9% des besoins. La même remarque est valable pour le secteur de l’éducation. Il nous faudra des efforts continus à moyen et long terme pour combler le déficit en ressources humaines tout en améliorant la gouvernance.
Lire aussi : Le PLF 2023 et la vulnérabilité des finances de l’Etat - Par Abdeslam Seddiki
Pour ce qui est de l’investissement public, estimé à 300 MMDH pour l’année budgétaire 2023, il se compose comme suit : près de la moitié de cette enveloppe revient aux EEP (Etablissements et Entreprises publics), soit 140,5 MM DH ; le budget général, les CST (Comptes Spéciaux du Trésor), les SEGMA, totalisent, en procédant à la neutralisation des transferts du budget vers les CST et les SEGMA, le montant de 95,5 MM DH, soit 32% ; le Fonds Mohamed VI pour l’investissement est doté d’une enveloppe de 45 MM DH, soit 15% ; les collectivités territoriales y contribuent à hauteur de 6%, soit 19 MMDH. Ces données appellent une série de remarques. 1) L’investissement public qui représente les deux tiers de l’investissement global se caractérise par une efficacité limitée due notamment à une mauvaise gouvernance. 2) Il n’est réalisé que dans une proportion tourant autour de 70%, ce qui signifie que l’investissement effectif ne dépasserait pas 210 MMDH. 3) Il est mal réparti territorialement et ne profite pas à toute la population de la même manière et par conséquent, il ne fait qu’aggraver les inégalités territoriales comme cela apparait dans le document relatif à la répartition régionale de l’investissement.
Ainsi, d’après nos calculs, réalisés sur la base des chiffres disponibles, les montants de l’investissement public par habitant varient, selon les différentes régions, entre 17690 DH et 1334DH. Bien sûr, il faut faire la comparaison sur le long terme afin de saisir les dynamiques régionales. A ce niveau, les rédacteurs dudit document relèvent effectivement une dynamique régionale des régions à faible contribution au PIB dans la mesure où elles connaissent des taux de croissance plus importants que les autres. Cette dynamique concerne essentiellement nos régions du Sud qui ont bénéficié d’investissements considérables et d’un programme de développement de plus de 80 MM DH. Mais pour l’heure, on relève toujours la concentration de la richesse dans les trois régions : Casablanca-Settat, Rabat-Salé-Kénitra et Tanger-Tétouan-Al Hoceima qui concentrent à elles seules 60% du gâteau national.
La réduction des inégalités territoriales et sociales demeure un vœu pieux. Même les collectivités territoriales qui devraient normalement y contribuer en affectant les transferts publics dont elles bénéficient à l’investissement (37 MM DH la part de la TVA transférée aux communes et 10 MM DH mis à la disposition des régions), ne mobilisent à cette fin que 19 MM DH. Le reste, soit 28 MM DH sont destinés au fonctionnement ! Une situation pour le moins anachronique qu’il faudra corriger au plus vite. Il est temps de clarifier les rapports entre l’Etat Central et « l’Etat territorial » à travers la mise en œuvre d’une politique audacieuse de décentralisation et de déconcentration qui soit en harmonie avec l’objectif stratégique de la régionalisation avancée.