vendredi 13 juillet 2012

MADAME LA HADJA AU DESSUS DE TOUT SOUPÇON

                               
Elle n'arrête pas de parler pour dire tout le bien qu'elle pense de ses trois filles qui "travaillent" à l'étranger. Deux sont en poste dans le Golf et la troisième, l’aînée, travaille sur le trottoir d'Oxford Street à Londres. Elle a même le bras long au consulat du Maroc au pays des British.
Les trois filles sont devenues des clientes assidues de la RAM (Royal Air Maroc) et elles contribuent grandement au sauvetage d'une agence bancaire d'un quartier populaire où elles habitaient et bien qu'elles l'aient quitté pour s'installer dans une vaste et belle villa, elle continuent d'y avoir leur compte bien garni en Dirhams convertibles...
En effet, ces filles sont une bonne et incontournable source de devise surtout au moment où des mâles indélicats font sortir cette chère devise.
A Londres, le consulat fait toujours appel à la patronne du trottoir d'Oxford Street pour ses bonnes oeuvres, notamment pour aider de jeunes marocains en panne dans la ville. A quelqu'un dans le besoin, l'accueil du consulat dit :" Ici, il n'y a que la Hadja d'Oxford Street et le comité Zakat de la mosquée de Regent Parc qui puissent vous aider..."
Que nos islamistes appliquent donc à cette famille "cent coups de fouet multipliée par trois au carré" chaque fois que les filles reviennent au pays et elles iront s'installer avec leur mère multi hadja au Lensenshtein prêt à les accueillir avec des fleurs. Car elles ne pratiqueraient plus seulement le plus vieux métier du monde, elles pratiqueraient en plus de la politique puisqu'elles seraient des militantes pour les droits individuels refusés, comme une honte, ou comme des péchés capitaux par ces islamistes...

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