mardi 17 juillet 2012

AMOURS: BOUTEFLIKA REÇOIT FABIUS LE CHAUVE

À Alger, Fabius plaide <br/>pour une intervention au Mali
On a le droit de se demander pourquoi Monsieur Bouteflika, le Président de la République Algérienne Démocratique et Populaire (Rade et Pop) qui reçoit ici Laurent Fabius, le ministre français des affaires étrangères, pourquoi Boutef ne se fait pas implanter des cheveux. La pratique d'implants n'est pourtant pas étrangère à cet Algérien natif paraît-il, du Maroc oriental, puisqu'il travaille depuis 37 ans à implanter un nouvel Etat au Sahara marocain.
Ce n'est pourtant pas l'argent qui lui manque quand on sait que sa clique a littéralement dépouillé l'Algérie en détournant la manne pétrolière et en participant activement à l'avènement d'une société algérienne malade. Encore plus malade que celle de "l'empire chérifien" voisin qui dispose, en effet, d'une société sensiblement plus libre et donc plus développée, une société où on essaie de se débrouiller malgré les handicaps, une société qui a la chance de ne pas disposer de pétrole, ni de leaders socialoides fixés à vie, aux chaises du pouvoir...
Dans le monde absurde où nous vivons il suffit parfois d'un petit rien pour changer le cours de l'Histoire. Et ce petit rien serait ici l'acceptation totale par Monsieur le Président de sa calvitie tout comme son hôte Laurent Fabius qui a toujours plu aux femmes avec son joli crâne dégarni. Sondage à l'appui...
Ainsi, on peut parier que si M.Bouteflika changeait de coiffure, il changerait aussi de politique. Il appliquerait la glasnost et la perestroïka pour le plus grand bien du peuple algérien...et aussi du peuple marocain qui attend qu'il mette fin à ses tentatives d'implanter non pas des cheveux sur sa tête, mais un Etat factice en chair et sans os  dans le Sud marocain...
 <strong>En colère.</strong> Les traits fatigués mais le regard fier, ils étaient entre cinq et dix mille gardes communaux à marcher vers Alger ce lundi. Objectif, se rendre au siège de la présidence à El Mouradia pour réclamer des augmentations salariales. Mais arrivés à Birkhadem, ils ont été bloqués par plusieurs centaines de policiers déployés pour les empêcher d'accéder au centre de la capitale. De violents affrontements ont alors éclaté entre les forces antiémeutes et les manifestants, la police faisant usage de bombes lacrymogènes, de matraques, de canons à eau et procédant à des arrestations. Ces affrontements, qui se poursuivaient lundi soir, ont fait entre 50 et 60 blessés parmi les gardes communaux.   
Manifs aux environs d'Alger  mi juillet 2012.La police tente d'arrêter les manifestants à l'entrée de la capitale.

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