dimanche 22 juillet 2012

MAROC: UN DRAMATIQUE " TOZ NIT " JAMAIS VU A TIZNIT

Cela se passe dans la ville marocaine de Tiznit, à 80 km au sud d'Agadir. Un individu à bicyclette, toujours recherché par la police locale -qui n'arrive pas à le coincer malgré les renforts- se livre à une bien curieuse activité criminelle. Celle-ci consiste à envoyer aux urgences du plus grand hôpital de la ville des femmes de 16 à 23 ans dont le seul crime est de porter sur elles le derrière qu' Allah leur a donné. Ces derrières sont pourtant très bien couverts dans cette ville qui vit sous un excès de religiosité du conseil régional des oulamas ( les docteurs en islams ) qui  interdit tout débit d'alcool en dehors des rares hôtels, et toute discothèque. Une ville dont la municipalité est tout de même dirigée par un avocat aux antipodes de l'extrémisme religieux...
Seule une culture de la liberté ( dans son acception universelle ) peut empêcher l'apparition de nouvelles maladies mentales comme celle dont a été atteint l'auteur de ces multiples crimes. Or, nos islamistes, qui ont le vent en poupe bloquent toute velléité de liberté... 
Car, il a agi bien consciemment en aiguisant très bien sa lame et en l'enduisant d'ail afin que ses victimes ne sentent pas leur peau en train d'être déchirée... Sa septième victime - il en a fait neuf - ayant perdu trop de sang, est toujours dans le coma... Qu'elles soient les cheveux libres, en voile ou en niqab, les jeunes femmes tombent sous sa lame juste pour leurs derrières dont elles ne peuvent cacher la présence sauf à porter des panneaux avec des écrits en arabe comme les tableaux de publicité que portent des gens en Europe. Ou alors des djinns avec à l'arrière des pare- lame...  Du pain sur la planche pour les créateurs de mode...
Gageons que s'il y avait à Tiznit des bancs publics du style "Epic seats" ci-dessus, ce genre de maladie mentale n'y apparaîtrait certainement pas... Bien qu'en langue marocaine " tiznit " soit proche de " toz nit ". Cette ville, qui est idéologiquement aux antipodes de son maire, est d'ailleurs victime d'un rejet flagrant de toute liberté individuelle ou artistique.
La police locale étant à la recherche d'un criminel à bicyclette, tous les utilisateurs de vélo ont dû ranger leur moyen de locomotion et se contenter de leurs pieds pour se déplacer pour éviter les suspicions et les accusations...

: Les société les moins permissives du sexe sont les plus obsédées par lui... Michel Foucault.




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