mercredi 18 juillet 2012

LA SYRIE EN DÉCOMPOSITION

<strong>Fenêtre de tir.</strong> À Homs (notre photo), les combats entre insurgés et forces du régime syrien ont une nouvelle fois ensanglanté les rues. Dans le même temps Damas, la capitale syrienne, était lundi le théâtre de combats d'une rare violence pour la seconde journée consécutive. Les troupes du régime ont lancé une offensive sans précédent pour tenter de reprendre le contrôle de quartiers périphériques de la capitale favorables aux opposants. Selon des militants, toutes les routes reliant Damas à sa province ont été coupées. «Ce sont les premiers combats de ce genre dans la capitale. C'est un tournant dans la révolution syrienne», a affirmé lundi un militant de Damas. <strong></strong>
Fenêtre de tir. À Homs (notre photo), les combats entre insurgés et forces du régime syrien ont une nouvelle fois ensanglanté les rues. Dans le même temps Damas, la capitale syrienne, était lundi le théâtre de combats d'une rare violence pour la seconde journée consécutive. Les troupes du régime ont lancé une offensive sans précédent pour tenter de reprendre le contrôle de quartiers périphériques de la capitale favorables aux opposants. Selon des militants, toutes les routes reliant Damas à sa province ont été coupées. «Ce sont les premiers combats de ce genre dans la capitale. C'est un tournant dans la révolution syrienne», a affirmé lundi un militant de Damas.
Ainsi, en Syrie, le Baath, Parti de la Renaissance Arabe Socialiste, est en train de se démasquer et même de se déshabiller complètement en préférant s'accrocher au pouvoir et détruire le pays... Et pourtant ces baatistes étaient l'un des groupes les plus éclairés dans l'espace qu'on appelle  "le monde arabe"...  
<strong>Le chaos.</strong> L'Armée syrienne libre (ASL), formée de déserteurs et de civils armés, a revendiqué dans un communiqué l'attentat perpétré ce mercredi à Damas qui a tué le beau-frère du président syrien Bachar al-Assad, Assef Chawkat, le ministre de la Défense Daoud Rajha et le général Hassan Turkméni, chef de la cellule de crise mise en place pour mater la révolte en Syrie. Ce dernier décès n'a pas été confirmé par les autorités syriennes. La situation en Syrie, où les combats touchent dorénavant la capitale Damas, «devient incontrôlable», ont estimé mercredi les ministres américain et britannique de la Défense.
Le chaos. L'Armée syrienne libre (ASL), formée de déserteurs et de civils armés, a revendiqué dans un communiqué l'attentat perpétré ce mercredi à Damas qui a tué le beau-frère du président syrien Bachar al-Assad, Assef Chawkat, le ministre de la Défense Daoud Rajha et le général Hassan Turkméni, chef de la cellule de crise mise en place pour mater la révolte en Syrie. Ce dernier décès n'a pas été confirmé par les autorités syriennes. La situation en Syrie, où les combats touchent dorénavant la capitale Damas, «devient incontrôlable», ont estimé mercredi les ministres américain et britannique de la Défense.
Il est quasiment sûr que l'alternative au criminel pouvoir en place ne sera pas meilleure à court terme. L 'hypocrisie et le mépris, cultivés par le régime durant des dizaines d'années a eu pour conséquence de renforcer les extrémistes islamistes qui contribuent à présent à détruire le pays...
Quant aux gens d'Arabie, ils semblent ne plus avoir besoin d'un Chame ( Syrie ) prospère depuis qu'ils croulent sous les pétrodollars...

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