vendredi 18 décembre 2020

Mme l'Ambassadrice ignore que Driss a été répudié par Fatima

 

Madame Hélène Le Gal visitant tout à l'heure l'usine PSA de Kénitra


Madame Hélène Le Gal, fille de la République Française et ambassadrice de France au Maroc  a un grand cœur. Elle refuse donc tout ce que subissent les Marocaines comme exploitations, déni des droits et violences. La réalité. En principe une telle attitude ne peut pas être discutée mais simplement saluée...

Cependant, je me permets un mais... Car la situation entre les deux sexes au Maroc n'est pas simple. Il y a autant sinon plus d'hommes victimes des femmes que de femmes victimes des hommes. Elles profitent de la charia anachronique pour faire de leurs maris des vaches à lait. Beaucoup de Marocaines aisées disposent de bonnes et mènent un train de vie dont rêvent les travailleurs. Beaucoup d'autres des milieux populaires torturent littéralement leurs maris qui reviennent les mains vides à la maison...

Exemple, ce monsieur Driss qui gagnait très bien sa vie dans le tourisme et qui survit actuellement avec deux cents euros mensuels à cause de la pandémie de covid-19. Eh bien Driss a été répudié par sa femme qui n'accepte plus de le voir végéter dans la misère à la maison... "Sors dehors ! Si tu trouves rien fais-toi écraser par un assuré... !" Lui lance-t-elle en colère en le mettant hors de l'appartement que son père lui a offert.

Dans une société où le principe d'égalité entre tous les humains sans exception, fait défaut, parler d'égalité hommes femmes c'est sauter la Révolution Française ! C'est juste exprimer la bonne conscience bourgeoise.  Dans une société ou l'esclavage (presque toutes et tous sont esclaves d'Allah) remplace l'idée de liberté, il est "normal" que l'homme gifle son épouse qui fait des bêtises par exemple rester connectée et oublier le tagine sur le feu. Etc... "Une fessée pour la petite chérie est halal !"

Durant les 50 ans de présence effective des Français au Maroc -qu'ils ont pacifié et réunifié-, ils ont trop bien respecté le clergé et sa charia et négligé les grands principes révolutionnaires... Mais c'étaient des Français et presque jamais des Françaises. D'ailleurs c'est la première fois qu'une femme est ambassadrice de France. Après avoir occupé le même poste en Israël, elle arrive dans une autre mosaïque ethnique où la notion d'égalité continue de faire défaut et où le pays roule sur la voie du capitalisme sauvage ouverte par les Français le siècle passé. 

                                                +++++++++

Voici mes deux romans récemment sortis à Paris ! Merci de voir ! Je suis persuadé que ça vous plaira !

https://www.edilivre.com/culottes-fatales-et-djihad-du-camembert-said-lemlih.html



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire