Le cerveau des Marocains court un gros danger avec cette nouvelle invasion des têtes portant un zéro !
Parce que les élus islamistes de Marrakech voulaient organiser dans la mairie de la ville une conférence d'un illuminé financé par des Koweïtiens, un raciste à fleur de peau, un anti-français viscéral, les autorités ont freiné la dérive fasciste des commerçants de l'islamisme !
Un frein salutaire sans lequel notre cher Maroc deviendrait un nouvel Afghanistan sur l'Atlantique ! J'ai bien écouté des "causeries" de cet illuminé: Il fait le lit du djihadisme fou et belliqueux !
Ce mercredi 30/01/2019 ce blog de Saïd LEMLIH a été consulté par un record de plus de mille / jour ! Merci aux citoyens du monde que j'appelle à se voir réellement pour être modestes et paisibles !
L’initiative
Par : Abdeslam Seddiki
Face à la crise (aux crises) qui nous rattrape(nt) de partout, il faut des alternatives pour ne pas sombrer dans la fatalité et tomber dans le désespoir. Les êtres humains sont dotés de suffisamment d’intelligence et de créativité pour ne pas subir passivement les crises multidimensionnelles auxquelles ils font face. A longueur de journée, on entend parler de crises. Un terme qui se conjugue avec toutes les situations. A tel point que l’on se demande si l’humanité est condamnée à vivre avec. Citons pèle mêle : crise d’emploi, crise économique, crise financière, crise des valeurs, crise identitaire, crise culturelle, crise de l’éducation, crise de la famille, crise écologique, crise mondiale, crise agricole, crise de l’enseignement, crise de la santé, crise du logement, crise énergétique…Ces crises peuvent être conjoncturelles liées à un événement particulier ou structurelles liées au système dominant.
Les crises conjoncturelles sont relativement faciles à résoudre. Elles ne nécessitent pas des remises en cause fondamentales. Il suffit d’agir sur les causes qui les ont engendrées ou à la limite de laisser le temps au temps pour s’en occuper. Par contre, les crises structurelles nécessitent une action en profondeur et une remise en cause du système qui les génère. Par exemple, la crise de surproduction qui caractérise le système capitaliste ne peut être dépassée que par le dépassement de ce système et de sa logique productiviste qui consiste à produire toujours plus. Car tout ce qui est produit n’est pas nécessairement utile à la vie des espèces humaines, animales et végétales. La surproduction se manifeste nécessairement par une surexploitation des ressources naturelles et un épuisement de ces dernières d’une part, et par un excès d’émission du gaz à effet de serre d’autre part.
Ce qui nous ramène à dire que la crise n’est pas vécue de la même manière par tout le monde. Pour certains, elle est vécue comme une opportunité à saisir alors que pour d’autres, et c’est la majorité, elle est vécue comme un enfer et avec des souffrances aiguës. C’est à ces derniers qu’on doit penser en premier lieu. L’histoire retient toujours les noms des dirigeants audacieux qui réalisent de grands projets en vue justement d’alléger les souffrances de leur peuple. D’ailleurs, les peuples ne se mobilisent pas par des slogans creux et sans contenu. La parole est utile certes, mais ce sont les actions concrètes qui sont le plus attendues. Comme par exemple déclarer la guerre à la destruction de la nature, à la paupérisation de la population, à l’enrichissement illicite et sans vergogne, aux injustices de toutes sortes.
Comme à chaque chose malheur est bon, les crises sont des moments propices pour accoucher du changement. C’est suite aux crises systémiques que le monde a changé progressivement. La souffrance peut être créative pour paraphraser Schumpeter. Mais encore faut-il qu’il y ait des projets rassembleurs autour desquels se mobilisent les gens afin de « tailler dans la montagne du désespoir une pierre d’espérance » ( Martin Luther King).
Ne désespérons surtout pas. Prenons des initiatives individuellement et collectivement qui vont dans le sens du progrès social, de notre épanouissement en tant qu’êtres humains. Chacun de nous dispose d’une marge, aussi étroite soit-elle, pour agir. Par exemple, face à la crise de notre système éducatif, l’Etat ne peut être rendu seul responsable. La société est dans son ensemble concernée. Nous avons produit dans le passé de beaux textes comme la Charte Nationale de l’éducation et de la formation. Nous disposons aujourd’hui d’une vision 2015-2030 élaborée par le CSEFRS, laquelle vision est déclinée dans une loi-cadre en cours d‘examen au parlement. Mais ce n’est pas suffisant. Il faut des hommes et des femmes qui traduisent ces projets en actes et initiatives sur le terrain. Comme l’a fait justement cette enseignante dans un établissement de Kenitra qui a été citée dans un rapport de la Banque Mondiale sur l’enseignement dans le monde publié tout récemment. Voici ce qui a été écrit à son sujet : « …Dans la salle de classe aux couleurs vives dont elle a elle-même peint les murs, cette enseignante utilise YouTube pour créer des outils pédagogiques grâce auxquels tous ses élèves apprennent et participent en s’amusant. Ici, chaque lettre de l’alphabet est associée au bruit d’un animal et à un mouvement. Quand elle prononce un mot, elle l’épelle à voix haute avec les sons et les gestes associés pour que les élèves l’écrivent. Elle peut ainsi facilement repérer les enfants en difficulté et adapter le rythme de la leçon pour leur permettre de rattraper les autres. Tous ses élèves sont attentifs et participent à la classe, sans craindre de se tromper. La volonté de cette enseignante est de veiller à ce que TOUS les enfants apprennent ». Saluons comme il se doit l’initiative et la créativité de cette enseignante dévouée à son métier.
Remarque:
Si Abdeslam Seddiki croit en l'homme et donc optimiste, il m'arrive de perdre tout espoir en l'homme: Etant devenu le mammifère le plus nombreux sur cette terre, plus nombreux que les porcs, il fait souvent preuve d'une animalité banale, surtout lorsqu'il laisse aux autres le soin de penser à sa place, lorsqu'il bouffe et court derrière les biens matériels et se multiplie comme un vers de terre ou lorsqu'il nikahe ses pauvres frères et sœurs...
Il y a pire que les crises: la SCIE (Société de Consommation Individualiste et Égoïste). Elle agit durant les crises et hors des crises... Elle scie la nature, les rapports sociaux, l'amour...
Le problème de l'éducation est d'abord et avant tout la commercialisation ségrégationniste et l'abandon de l'humanisme aux profit d'un islamisme et d'un arabisme trompeurs... Au Maroc, le système éducatif est devenu proprement criminel: Il sert juste la reproduction des profiteurs de cette mascarade à la sauce islamique !
Dans le monde développé la grande crise c'est l'ennui ...
Alors que la poule des islamistes s'éclate au Moulin Rouge, des milliers de nos frères amazighs crèvent de froid dans l'Atlas...
Dans le pays de ce vieillard, un Chef de Gouvernement islamiste accepte et trouve normal de percevoir une retraite indue de 90.000 Dh par mois.
Et il arrive à trouver le sommeil, aux côtés de tout un peuple dans un coma profond, lorsque ce qui lui est versé empêche de nourrir cette créature encore vivante. L'ex chef de gouvernement en question pratique ni plus ni moins et pour appeler un chat, un chat, il pratique le nikah fraternel halalisé par un clergé artificiel ! Normalement tout capitalisme implique du nikah, mais celui de nos islamistes est un douloureux viol ! Il se fait dans un lit bourré de mensonges et à 4 pieds: le mektoub, le rizq, le satr et le sabr !!!
Cependant, il ne faut pas oublier que même nos syndicats sont aux mains de réelles mafias ! Exemple les dernières élections truquées au congrès de cette même CDT ! Surtout éviter la casse !!!!!
Le Maroc des gens normaux qui n'ont pas la chance de profiter pleinement du système socio-économique, ce Maroc-là en a assez ! Vraiment assez de voir une poignée de cheikhs et de chikhates exhibant leurs luxueuses collections, de pachas hors-la-loi et de poules qui pissent les parfums à des dizaines de millions et qui sont des émirs à Paris, Rome et ailleurs !!! Vraiment assez de se ruiner pour produire des diplômés chômeurs face à une minorité qui se reproduit à l'aise et comme sur des roulettes, alors qu'il n'y a qu'une seule dynastie au Maroc: la dynastie alaouite que Dieu la garde !
Notre précédent chef de gouvernement, l'islamiste Benkirane a mendié et obtenu 9 000 euros mensuels comme retraite à vie ! Même s'il est milliardaire ! Cependant, "il donne beaucoup de charité" dixit mon amie Amal Houari qui l'a côtoyé !
Moi, je voulais organiser des activités avec mon association ADAM et Artilem... Je suis allé demander des sponsoring... Que des promesses par des gens qui gagnent plus de 500 SMIG et qui préfèrent donner aux étrangers !... Le seul milliardaire "généreux" a été Hadj Bicha qui a sorti de sa poche huit cents Dirhams ( seize mille rial soit plus de 400 pains complets !) et lancé: "Hak a lostad douze mara khra !". Heureusement que cet ostad, Said LEMLIH, transforme le mépris des pourris de fric en énergie vitale !
Mais dommage ce hadj vient de mourir la semaine écoulée ! (Allah irhamou) Ils n'a rien emporter avec lui ! S'il n'était pas mort il m'aurait redonné le goût de la mendicité. Mais je pense à ce milliardaire devenu subitement pauvre sans un sou en train de se décomposer dans sa tombe ! Je me souviens avoir vu ce hadj dans sa villa d'un hectare à Tiznit !
Le consul du Maroc à Londres, il y a plus de trente ans, me poussa à aller mendier au comité zakate de la grande mosquée de la capitale britannique (voir mon récit: Journal d'un prof mendiant...) lorsqu'on m'a volé tout mon argent et tous mes papiers.
J'ai passé 5 semaines, tous les jours dans la mosquée de Regent Parc et toutes les nuits dans l'hôtel (gratis) de l'église anglicane de Londres... J'ai fait connaissance avec Cat Stevens (Yusuf Islam) très actif dans les parages et avec Benazir Bhuto la dirigeante du parti du peuple pakistanais qui a animé un débat sur le hannafisme dans l'islam sunnite...
On m'a volé 16 000 Dh je suis revenu au pays avec 73 000 Dh dont 15 000 aide du comité zakate. J'ai aussi appris énormément dans de continuels débats sur toutes les religions, y compris le sikhisme qui m'a beaucoup plu, dans les sous-sol de cette richissime mosquée où on ne servait quasiment qu'un seul menu riz+viande hachée dans le resto du sous-sol 1...
Laissez donc votre argent chez vous ! Je ne mendie plus ! Dans ce bled demander une sponsorisation c'est mendier ! Stop la mascarade voici la machkhara. Donnez votre argent aux..., aux..., aux..., aux... ! Allah ichouf ! Verra qui vivra ! Mais tous comptes faits, passez ! Y a rien à voir !
ISADAQ 3LA
KARO 16 000 RIAL
DABA. MACHI I3TINI SADAQA
AL MONAFIQ CHAFAR DIAL CHA3B !
Les illuminés islamistes qui gèrent la ville d'Agadir viennent d'avoir une de ces idées qui leur permettent de bouffer le budget en maquillant quelques espaces: Exemple, ce remplacement du goudron des ronds points de l'ancien quartier industriel par le pavé ! Un pavé très mal posé... On l'aurait vu en Europe et on voudrait le reproduire !
Comme on sait le pavé est une arme pour les casseurs lors des manifestations. Sa stabilité ne résiste pas au passage des poids lourds... Mais encore une fois, nos islamistes montrent leur "après moi le déluge!"
Les élus, comme des cafards aiment ce pavé car ils peuvent s'y cacher. Ils peuvent le refaire et le facturer librement... Chaque pavé vaut plus qu'une tournée de bissara !
AU SECOURS !
LA CAPITALE DU SOUSS
VIT UN SÉISME DESTRUCTEUR NON STOP !
Une idéologie de chameau semble tenir Agadir et ses environs en otage ! Nous sommes tous + ou - drogués par nos imams et par le nikah halal, celui du CSSI (Capitalisme Sauvage à la Sauce Islamique très différent du capitalisme humain occidental) !
Ce dimanche matin j'ai visité à pieds l'agglomération Aourir, à quelques kilomètres, au nord d'Agadir. Les conditions de vie y sont sur le point d'être insupportables... Seul le nombre des enfants se développe, fruit du djihad du nikah ! J'étais avec un ami étranger qui voulait investir dans la région...
- Je préfère aller au Sénégal car au moins là-bas on peut boire une bonne bière au soleil avec les habitants pauvres, au lieu de ce faux thé mêlé au henné...me dit-il. Nous sommes allés en taxi (7 Dh/personne et revenus en bus (5,5 Dh/personne. Dans l'agglomération les khatafa (voleurs de places) sont les seuls taxis. Ils prennent 3 Dh/personne et donnent 50 Dh aux gendarmes, lorsqu'ils les rencontrent... Dans cette ville-salade seules des écoles privées semblent faire du beurre avec les mamelles de parents un peu friqués...
Dimanche passé j'avais visité El Kolea, une autre agglomération semblable au sud de la même ville...
Ainsi je constate que la ville d'Agadir est encerclée par 450 000 + ou - victimes du système ! A bon entendeur salut !
Y a plus beaucoup de bidonvilles comme ça mais la même misère règne avec du ciment à la place des tôles !
Si la reproduction est normale dans le privée, elle est scandaleuse dans le public !
Avouez qu'un système où les enfants de sidis deviennent sidis obligatoirement même s'ils sont idiots et même s'ils refusent la réussite ! Avouez qu'un système où les enfants naissent inégaux, avouez que ce système est non seulement injuste mais sans avenir ! Au Maroc, la reproduction en est à sa vitesse de croisière... Elle touche tout le monde: des gens de gauche comme des gens de droite ! Tous les parvenus veulent créer des dynasties !
Le siècle passé, j'ai gelé mes activités dans le PPS lorsque j'ai découvert, entre autres, que notre éternel camarade SG voulait se reproduire avec son fils feu Nadir Yata, même si je trouvais TB ce fils du lycée Lyautey Casa...
Et voici que mon vieil ami de l'USFP, Habib El Maleki actuel président de la chambre des députés se reproduit en nommant son fils PDG d'une boîte publique de Rabat ! Habib, président est fils de caïd, son fils Tarik devient PDG !
Camarades et frères, allez vous masturber avec les discours de ces sidis de pères en fils !
Peuple drogué, abruti et oublié, multiplie-toi, fais des enfants, ils hériteront les privilégiés de ces dynasties lorsqu'ils finiront de pourrir !
Au Nikahistan, on monte sur ses frères
et on les fait marcher avec des parfums
LA REPRODUCTION SOCIALE
EST LA FORME PATHOLOGIQUE
LA PLUS VISCÉRALE DU SYSTÈME...