La ville de Caen en Normandie (France) est une des villes européennes qui ont le plus souffert de la seconde guerre mondiale. Lorsque j'y résidais j'habitais rue Caponnière...
Dans cette vieille rue du centre ville, j'ai visité par hasard, un grenier plein de vieux livres. Des livres dont beaucoup étaient en lambeaux et sans couverture. On aurait dit qu'ils provenaient d'une bibliothèque détruite par les bombardements de 1944... La dame qui a acheté, pour un franc symbolique, la vieille et historique bâtisse, m'a autorisé à prendre tout ce que je voulais de ces vieux livres... J'en ai pris un gros paquet...
Il y a plusieurs écrits d'officiers de l'Armée Française et de la Légion Étrangère... Par exemple l'écrit d'un colonel qui a assisté à la signature du Traité déséquilibré d'Algesiras entre la France coloniale et le tout nouveau Sultan du Maroc: Moulay Hafid au tout début du XXème siècle passé... Le colonel a écrit que le Sultan portait une djellaba sale...
En reprenant certains de ces livres en lambeaux, je suis tombé, dans un livre sur le Calvados (sorte de mahia ou de cognac normand très fort) sur un texte qui parle des origines très lointaines de l'alcool:
Ce breuvage était déjà présent à Pompei où il était produit "industriellement", c'est-à-dire il y a 2 100 ans. Mais ses origines remonteraient bien avant la découverte du fer, il y a un peu plus de 10 000 ans. Les alcools auraient été découverts juste après le feu, autrement dit il y a des dizaines de milliers d'années.
Comme seules des matières organiques pourrissant avec des asticots peuvent produire les alcools forts, il est possible que les premiers alcools résultent de la cuisson de viande pourrie. On peut donc imaginer qu'au lieu d'enfuir sous terre leurs chers morts comme une honte, nos très lointains ancêtres chantaient et dansaient autour des corps jusqu'au pourrissement... Ils les faisaient bouillir ensuite pour tuer les asticots... Puis ils les mangeaient en buvant la mahia obtenue à partir des vapeurs de la cuisson... BON APPÉTIT ET A LA VOTRE !
Une fatma qui boit du thé très sucré et qui coud et qui couse n'est pas meilleure qu'une françoise qui prend un verre et lit un livre et cultive son potager...
Ce breuvage était déjà présent à Pompei où il était produit "industriellement", c'est-à-dire il y a 2 100 ans. Mais ses origines remonteraient bien avant la découverte du fer, il y a un peu plus de 10 000 ans. Les alcools auraient été découverts juste après le feu, autrement dit il y a des dizaines de milliers d'années.
Comme seules des matières organiques pourrissant avec des asticots peuvent produire les alcools forts, il est possible que les premiers alcools résultent de la cuisson de viande pourrie. On peut donc imaginer qu'au lieu d'enfuir sous terre leurs chers morts comme une honte, nos très lointains ancêtres chantaient et dansaient autour des corps jusqu'au pourrissement... Ils les faisaient bouillir ensuite pour tuer les asticots... Puis ils les mangeaient en buvant la mahia obtenue à partir des vapeurs de la cuisson... BON APPÉTIT ET A LA VOTRE !
Une fatma qui boit du thé très sucré et qui coud et qui couse n'est pas meilleure qu'une françoise qui prend un verre et lit un livre et cultive son potager...
Un peuple qui ne sait pas boire, ne sait pas conduire, ne sait pas voter, ne sait pas manger, ne sait pas économiser, ne sait pas lire, ne sait pas écrire, ne sait pas dormir, ne sait pas penser... Il sait juste se faire nikaher par les plus malins de ses frères et, depuis peu, de ses sœurs...
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