En juin dernier, nous avons envoyé quatre de nos apprentis à un Centre de Formation Professionnelle pour y suivre trois jours de théorie. Cette activité s'inscrit dans le cadre d'une coopération internationale notamment belge avec des institutions marocaines...
Nos jeunes ont attendu, dans le couloir du Centre de 8h à 11h du matin. Ensuite les cours se sont déroulé de 11h15 à 14h15. Et c'est le même horaire, durant les trois jours de la prétendue formation.
La première journée a été consacrée au "droit du travail " et c'est le plat de résistance théorique. Sans la moindre gêne, en effet, le formateur annonce que son cours consiste à montrer aux stagiaires "comment ne pas se faire rouler par le patron " et donc " comment rouler le patron en le tenant bien dans les filets des articles de la législation du travail "...
Ce genre de cours, payé par l'argent des contribuables belges par exemple, ne rend aucun service au monde du travail et surtout pas à des jeunes qui ne manquent pas d'exprimer leurs doléances naturelles, c'est-à-dire sans syndicat et sans formateur militant maladroitement pour les travailleurs... Car parmi nos quatre apprentis deux sont des malades mentaux sur les plans de la perception du monde, de l'audition et de la compréhension. Ils ont été, après de multiples redoublements, incapables de finir leurs études primaires...
La première déformation a lieu dans notre système éducatif aux abois. Voilà donc la cerise sur le gâteau avec ce genre de formateur juste capable de donner une armée de chômeurs soit disant formés, malhonnêtes, incapables de faire quoi que ce soit d'utile, de rapide, et de rentable. Ces "lauréats", qui passent sous silence leurs devoirs, seront toujours prompts à exiger leurs droits de ces patrons qui se replient de plus en plus sur des secteurs à moindre main d'oeuvre ou des secteurs spéculatifs...
Cependant, avec l'aggravation de la crise multisectorielle qui entraîne davantage de chômage, la réalité têtue est en train de donner la meilleure leçon à cette armée de jeunes qui ne savent rien faire, même pas mendier. En effet, ces derniers jours de nombreux jeunes se présentent à des entreprises en demandant, au nom d'Allah un emploi. "Allah irham biha loualidine chi khadma" disent-ils... N ous sommes "a khouya" dans la même galère qui vogue sur une salade islamo-franco- réislamique consistant à promouvoir le secteur de la mendicité...
Nos jeunes ont attendu, dans le couloir du Centre de 8h à 11h du matin. Ensuite les cours se sont déroulé de 11h15 à 14h15. Et c'est le même horaire, durant les trois jours de la prétendue formation.
La première journée a été consacrée au "droit du travail " et c'est le plat de résistance théorique. Sans la moindre gêne, en effet, le formateur annonce que son cours consiste à montrer aux stagiaires "comment ne pas se faire rouler par le patron " et donc " comment rouler le patron en le tenant bien dans les filets des articles de la législation du travail "...
Ce genre de cours, payé par l'argent des contribuables belges par exemple, ne rend aucun service au monde du travail et surtout pas à des jeunes qui ne manquent pas d'exprimer leurs doléances naturelles, c'est-à-dire sans syndicat et sans formateur militant maladroitement pour les travailleurs... Car parmi nos quatre apprentis deux sont des malades mentaux sur les plans de la perception du monde, de l'audition et de la compréhension. Ils ont été, après de multiples redoublements, incapables de finir leurs études primaires...
La première déformation a lieu dans notre système éducatif aux abois. Voilà donc la cerise sur le gâteau avec ce genre de formateur juste capable de donner une armée de chômeurs soit disant formés, malhonnêtes, incapables de faire quoi que ce soit d'utile, de rapide, et de rentable. Ces "lauréats", qui passent sous silence leurs devoirs, seront toujours prompts à exiger leurs droits de ces patrons qui se replient de plus en plus sur des secteurs à moindre main d'oeuvre ou des secteurs spéculatifs...
Cependant, avec l'aggravation de la crise multisectorielle qui entraîne davantage de chômage, la réalité têtue est en train de donner la meilleure leçon à cette armée de jeunes qui ne savent rien faire, même pas mendier. En effet, ces derniers jours de nombreux jeunes se présentent à des entreprises en demandant, au nom d'Allah un emploi. "Allah irham biha loualidine chi khadma" disent-ils... N ous sommes "a khouya" dans la même galère qui vogue sur une salade islamo-franco- réislamique consistant à promouvoir le secteur de la mendicité...
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