Sur les six premiers bacheliers marocains, par leur moyenne au baccalauréat 2012, quatre sont des filles. Et bien que le premier garçon soit barbu, il n'y a qu'une seule fille voilée sur quatre. Toute une signification.
Dans l'ensemble, il y a, pour la troisième année consécutive, plus de filles ( 52% environs ) que de garçons qui ont réussi à décrocher ce diplôme... C'est bien là le meilleur barrage contre les obscurantistes, les salafistes, les apprentis talibans qui semblent avoir le vent en poupe en ces temps de multiples crises.
Dans le monde du travail, cette tendance va, évidemment, se renverser. Et la majorité des bachelières vont devenir, souvent malgré elles, des femmes au foyer entretenues par le mâle conformément à la charia et à l'habitude ancestrale. Cette habitude combattue par le capitalisme, par le regain d'individualisme et par un relâchement des liens familiaux qui a tendance à relever du mektoub ( fatalisme religieux ).
L' illuminée Bassima Hakaoui, notre ministre islamiste de la femme, de la famille et du développement social, généralement opposée à l'égalité totale et complète entre les deux sexes, comme c'est déjà le cas dans la majorité des pays en ce XXIème siècle, dit, lors d'un speech au festival d'Assilah, avoir trouvé une recette- surprise pour améliorer la condition de la femme marocaine.
La recette est très simple. Une soupe à la semoule et rien de plus. Il s'agit de pousser les marocaines à s'occuper utilement chez elles; par exemple à étudier, à devenir des artistes ( comprendre bien sûr un art "propre" comme la calligraphie des versets saints), bref à bouger...
Il fallait y penser!
La réalité, la dure réalité, continue de s'imposer: Des femmes au foyer qui vivent dans des espaces de plus en plus réduits; souvent moins de 50 mètres carrés pour plusieurs, n'ont que la télé pour s'échapper de leur condition et on voudrait museler cette même télé. Encore une petite amélioration de la vie dans nos prisons et celles-ci seront meilleures que beaucoup de taudis. Dans les villes, les espaces verts sont, en effet, battus en brèche par les spéculateurs immobiliers et les souks, quant à eux, sont de moins en moins sûrs, et les déplacements coûtent d'ailleurs de plus en plus cher... Ces bonnes femmes n'ont plus qu'à ruminer leur diabète et à se terrer... Elles peuvent tout de même aller aux mosquées de proximité pour y prier pour une vie meilleure...
La belle époque des attardés mentaux malheureusement majoritaires dans ce Maroc émergent. Quand les hommes disaient à propos des femmes instruites: "Une poule qui chante c'est un mauvais présage: il faut donc l'égorger!" ...
Dans l'ensemble, il y a, pour la troisième année consécutive, plus de filles ( 52% environs ) que de garçons qui ont réussi à décrocher ce diplôme... C'est bien là le meilleur barrage contre les obscurantistes, les salafistes, les apprentis talibans qui semblent avoir le vent en poupe en ces temps de multiples crises.
Dans le monde du travail, cette tendance va, évidemment, se renverser. Et la majorité des bachelières vont devenir, souvent malgré elles, des femmes au foyer entretenues par le mâle conformément à la charia et à l'habitude ancestrale. Cette habitude combattue par le capitalisme, par le regain d'individualisme et par un relâchement des liens familiaux qui a tendance à relever du mektoub ( fatalisme religieux ).
L' illuminée Bassima Hakaoui, notre ministre islamiste de la femme, de la famille et du développement social, généralement opposée à l'égalité totale et complète entre les deux sexes, comme c'est déjà le cas dans la majorité des pays en ce XXIème siècle, dit, lors d'un speech au festival d'Assilah, avoir trouvé une recette- surprise pour améliorer la condition de la femme marocaine.
La recette est très simple. Une soupe à la semoule et rien de plus. Il s'agit de pousser les marocaines à s'occuper utilement chez elles; par exemple à étudier, à devenir des artistes ( comprendre bien sûr un art "propre" comme la calligraphie des versets saints), bref à bouger...
Il fallait y penser!
La réalité, la dure réalité, continue de s'imposer: Des femmes au foyer qui vivent dans des espaces de plus en plus réduits; souvent moins de 50 mètres carrés pour plusieurs, n'ont que la télé pour s'échapper de leur condition et on voudrait museler cette même télé. Encore une petite amélioration de la vie dans nos prisons et celles-ci seront meilleures que beaucoup de taudis. Dans les villes, les espaces verts sont, en effet, battus en brèche par les spéculateurs immobiliers et les souks, quant à eux, sont de moins en moins sûrs, et les déplacements coûtent d'ailleurs de plus en plus cher... Ces bonnes femmes n'ont plus qu'à ruminer leur diabète et à se terrer... Elles peuvent tout de même aller aux mosquées de proximité pour y prier pour une vie meilleure...
La belle époque des attardés mentaux malheureusement majoritaires dans ce Maroc émergent. Quand les hommes disaient à propos des femmes instruites: "Une poule qui chante c'est un mauvais présage: il faut donc l'égorger!" ...
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RépondreSupprimerah...nostalgie....mon arrière grand père a du connaître
aujourd'hui , juste retour de baton ...
mon épouse étant une J.I.P
Jewish Israélian Princess