vendredi 1 juin 2012

CONCEVOIR UN DROIT AU SUICIDE

La presse nous apprend que des extrémistes islamistes risquent de mourir en prison où ils font la grève de la faim depuis un certain temps et refusent de boire depuis peu. L'eau étant la vie, la refuser c'est refuser la vie. Un acte, on ne peut plus haram.
Tous les concernés sont des adeptes des appels au djihad, autrement dit à la guerre sainte contre tous ceux qui ne partagent pas leur point de vue religieux. Dans leurs certitudes inébranlables, ils se moquent éperdument des droits des autres. Ils sont persuadés d'aller au paradis promis.
Les obliger de continuer à vivre c'est  les retarder dans ce "monde de mécréants", c'est les empêcher d'accéder rapidement à ce paradis promis. Le suicide est certes, explicitement haram (interdit) en islam. Mais ce n'est pas leur première interprétation erronée de cette religion dont ils ne retiennent que la lettre, que le statique, qu'un temps faussement figé. En effet, ils oublient totalement l'aspect dynamique et révolutionnaire de cette religion dont beaucoup trop d'adeptes ont oublié d'évoluer ou ont été empêchés d'évoluer...
A défaut de guérir ces gens-là, on devrait examiner sérieusement leur droit au suicide...   
IL FAUT, CEPENDANT, S'ACCROCHER A CETTE VIE MÊME SI ON PLEURE EN ARRIVANT ! dixit ce beau bébé qui dit vrai même s'il n'a pas du tout l'air d'être musulman!...     
 
<strong>L'horreur.</strong> La Syrie enterre ses morts. La majorité des victimes du <a href=''http://www.lefigaro.fr/international/2012/05/27/01003-20120527ARTFIG00223-syrie-l-onu-confrontee-a-la-tuerie-de-houla.php'' target=''''>massacre de Houla</a> ont été exécutées, selon les premiers résultats d'une enquête, a annoncé mardi un porte-parole du Haut Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme, Rupert Colville. Au total, 108 personnes ont été atteintes par des éclats d'obus ou exécutées à bout portant, dont 49 enfants, et plus de 300 ont été blessées. <a href=''http://www.lefigaro.fr/international/2012/05/28/01003-20120528ARTFIG00466--damas-annan-mesure-les-consequences-d-un-massacre.php'' target=''''>Kofi Annan, arrivé lundi dans le pays, s'est dit «horrifié» par ce massacre</a> qui a mis encore un peu plus en péril son plan de paix et conduit le Conseil de sécurité à condamner Damas. Damas a de son côté nié «totalement toute responsabilité gouvernementale dans ce massacre terroriste». La trêve instaurée théoriquement le 12 avril en vertu de ce plan semble donc de plus en plus caduque. Malgré tout, le médiateur international espère encore sauver son plan de paix. Alors, ce mardi, il devait rencontrer Bachar al-Assad, le général Robert Mood, chef des observateurs en Syrie, pour demander au chef de l'Etat syrien des engagements concrets en faveur de la paix.

 La Syrie enterre ses morts. La majorité des victimes du massacre de Houla ont été exécutées, selon les premiers résultats d'une enquête, a annoncé mardi un porte-parole du Haut Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme, Rupert Colville. Au total, 108 personnes ont été atteintes par des éclats d'obus ou exécutées à bout portant, dont 49 enfants, et plus de 300 ont été blessées. Kofi Annan, arrivé lundi dans le pays, s'est dit «horrifié» par ce massacre qui a mis encore un peu plus en péril son plan de paix et conduit le Conseil de sécurité à condamner Damas. Damas a de son côté nié «totalement toute responsabilité gouvernementale dans ce massacre terroriste». La trêve instaurée théoriquement le 12 avril en vertu de ce plan semble donc de plus en plus caduque. Malgré tout, le médiateur international espère encore sauver son plan de paix. Alors, ce mardi, il devait rencontrer Bachar al-Assad, le général Robert Mood, chef des observateurs en Syrie, pour demander au chef de l'Etat syrien des engagements concrets en faveur de la paix. Mais les bâatistes ayant une culture du mensonge, on ne peut plus croire leurs promesses...

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