samedi 23 juin 2012

MAROC: ALCOOLS SURTAXES = FIN DU RISQUE D'INCESTE ?

Notre gouvernement semi-islamiste, majoritairement, n'aime pas l'alcool. Il exhibe même, de temps en temps son aversion pour ce satané produit. Les ministres qui boivent, doivent le faire bien en cachette. Attention aux caméras! Cependant, à défaut de ne pas pouvoir l'éradiquer complètement du pays, le voilà qui le surtaxe pour en faire une vache à lait du fisc. Cette surtaxe excessive aura pour conséquence directe  d'encourager la production et la consommation de l'alcool clandestin nettement plus nocif pour la santé que la bière, ou le vin rouge, par exemple, dont les mauvais effets sur la santé sont moins graves que ceux du sucre très consommé chez nous. La surtaxe risque de réduire le nombre de ces vaches à lait du fisc. Et, au lieu d'arrêter les "cow boys" de ces animaux, pour "vente d'alcool aux musulmans", il faudrait leur donner des trophées pour services rendus au budget de l'Etat marocain et à la tolérance.
Il y a quelque chose qui cloche, quelque chose qui ne tourne pas rond dans la chapelle idéologique de nos islamistes notamment dans le MUR ( Mouvement Unicité et Réforme ).  Car à l'époque du prophète l'alcool n'était ni aussi bien taxé ni même interdit, bien qu'il était beaucoup plus fort que de nos jours où la teneur est limité à un maximum de 40 degrés dans tous les pays développés.
Mais il est vrai que les islamistes ne sont pas à une contradiction près...
On est en train de faire de l'alcool un martyr sur le chemin des libertés individuelles! Une de ces libertés consiste à avoir le droit de boire une bière au soleil même en plein mois sacré ( et trop sucré). Un droit acquis par plus de six milliards d'êtres humains sur tous les continents et dans les pays musulmans les plus développés comme la Turquie. Car aucune bière - blonde, brune ou noire - ne peut mener le buveur à confondre sa fille avec son épouse. En effet cet inceste éventuel est un des premiers prétextes de l'interdiction religieuse de la consommation de l'alcool.
Le "satané liquide mère de toutes les ignominies" qui existait à l'époque du prophète, il y a 14 siècles, ne ressemble en rien à la quasi totalité des alcools légalement produits aujourd'hui.
On aurait dû s'occuper d'abord de ce qui est bien plus grave que la consommation d'alcool. Il y a le manque flagrant d'éducation de nos concitoyens; une éducation sociale et humaine en premier, avant l'endoctrinement 
religieux... Il faudrait baser la morale non pas sur la "peur de Dieu" ( qui est Clément et Miséricordieux )  mais sur l'amour du Bien et le rejet du Mal suivant leur sens universel.
Interdire l'alcool, et tout ce qui est péché avec, revient à vouloir tuer Satan et à établir un paradis obligatoire.
Alors que les musulmans doivent seulement combattre Satan en eux, comme le symbolise le "Rajamate" à la Mecque lorsque les croyants jettent des petites pierres au stèle de Satan. De bien petites pierres incapables de tuer ce personnage mythique. Cet acte ressemble au jet des tomates sous d'autres cieux. 
Un penseur islamiste du Sud marocain ( Al Mokhtar Soussi ) a bien dit : "Remercions Allah qui a fait que les pauvres existent afin que nous puissions donner l'aumône"...Remercions aussi Allah qui a fait que Satan existe afin que ceux qui veulent commettre des péchés puissent le faire en toute LIBERTÉ....

Nos islamistes du gouvernement devraient penser à surtaxer toutes les lampes qui donnent des idées ou dérangent les idées, un peu comme l'alcool... d'autant plus qu'à l'époque du prophète les lampes n'étaient pas aussi sataniques et ne prêtaient pas à confusion! Taxez donc toutes les lampes sauf la vôtre qui ressemble au thé à la menthe...

En arabe : " Hi! hi! hi!...  le gouvernement est passé avant toi ! ".
Cette surtaxe de l'alcool a tout l'air d' un remake du dépouillement.
Gageons que le gentil voleur va se replier sur les rares touristes...

CEPENDANT, LE MAROC RESTE INTÉRESSANT

POUR LES TOURISTES ET POUR LES INVESTISSEURS... 

<strong>Efficace.</strong> Un officiel pakistanais utilise un rouleau compresseur pour détruire des centaines de bouteilles d'alcool confisquées mardi 26 juin dans la banlieue de Karachi. Des médias, des policiers et des passants observent cette manifestation, à l'occasion de la Journée internationale de lutte contre l'abus et le trafic de drogues. L'Organisation mondiale de la santé vient d'annoncer la mise en place d'une nouvelle base de données sur les ressources allouées à la prévention et au traitement des problèmes de consommation de drogues et d'alcool dans 147 pays. Une mesure indispensable quand on sait que la plupart des toxicomanes ne reçoivent ni traitement ni soins efficaces.
Au Pakistan, on écrase des bouteilles de vin avec un gros engin!

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