samedi 22 mars 2014

Maroc: Je m'appelle pas "Azi" et je ne suis pas syrien.


Sur la photo ci-dessus, on voit un groupe de femmes syriennes dans une rue de Fès. Elles vont ensuite se séparer pour mendier un peu partout dans la ville. Une situation identique dans les autres villes marocaines.
C'est que le secteur économique en pleine expansion, celui de la mendicité, a besoin de sang nouveau: des clandestins subsahariens et des Syriens...
La présence de ces femmes est  le couronnement de dizaines d'années de luttes du Parti de la Renaissance Socialiste Arabe de Syrie qui pousse ces Syriennes à venir dans l'extrême ouest de l'Oumma... Cet extrême ouest, ce Maghrib Al Aqsa qui n'est pas suffisamment conquis... qui n'est pas suffisamment arabe...

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