L'appel. Depuis l'assassinat de Chokri Belaïd, tué par balle, mercredi à Tunis, la Tunisie est plongée dans un bain de violence. La mort du chef de l'opposition a provoqué de nombreuses manifestations dans le pays contre le pouvoir islamiste. Dès hier soir, le premier ministre Hamadi Jebali s'est adressé à la nation pour annoncer qu'il formera un «gouvernement de compétences nationales sans appartenance politique». L'opposition a, elle, appelé à une grève générale aujourd'hui, pour les obsèques du défunt, et suspendu sa participation à l'Assemblée constituante.
Des islamistes démocrates ? Des islamistes respectueux de la personne humaine? Il faut le croire pour le voir...
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