mercredi 22 octobre 2014

L'Algérie et le Polisario se métamorphosent visiblement


Dans le Maghreb, certaines familles lavent les vêtements du mort avant de les donner à des nécessiteux. C'est peut être pour étendre les vêtements de feu  Abdel Aziz (traduction: "l'esclave du Chéri") Bouteflika que l'armée algérienne a tiré plusieurs balles sur des frontaliers civils marocains. Elle a gravement blessé trois d'entre eux...
Or, même si l'Esclave du Chéri meurt, d'autrtes esclaves du Chéri veillent et lorgnent le magot de 220 milliards de Dollars fruit de la vente des hydrocarbures sahraouis... C'est que le pouvoir algerois, fils bâtard et renégat de la France, et quoi qu'il dise et fasse, se métamorphose comme sa génétrice mère: il la suit dans la "culture du chéri" avec qui on conjugue le verbe "tromper"...
Dans la Radépo (République Algérienne Démocratique et Populaire) le prénom "Abdel Aziz" (littéralement "l'esclave du Chéri" en arabe) a dépassé dans le hit parade des prénoms le classique "Kader"... Cependant, il est fort douteux que le "Chéri" en question soit le vrai Dieu, le vrai Allah qui n'est pas seulement grand comme une montagne de Dollars, mais qui est infini dans tous les sens...
Un exemple d'esclave du Chéri est ce Mehmet PDG, depuis presque 40 ans, de la S.A (Société Arabe) dont le siège social est à Tindouf et dont l'objet est de tenter de diviser le Maroc pourtant, lui aussi plein d'esclaves du Chéri. Cette S.A. est maintenue artificiellement en vie par les mauvais esprits, esclaves du Chéri qui tentent de maintenir en vie leur ex chef esclave du Chéri (Abdel Aziz)...

L'invraissemblable métamorphose du Polisario: de militants gauchistes et castristes sur leurs ânes dans la Sierra derrière Guévara; les voici dans le désert de Tindouf, syro-irakien, avec le même âne mais une barbe bien différente et un autre chef devenu Kalif de Daeche...

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