En arabe: Nous naissons, ils nous fêtent... Nous mourons, ils regrettent notre départ... Entre les deux: ils nous ignorent... Nous buvons pour oublier
Ci-dessous un extrait de ma contribution au IXème congrès du PPS:
... Durant presque 70 ans d'existence, les dommages subis par le parti et les victimes enregistrées dans ses rangs en raison de la consommation de ces breuvages interdits par l'islam, sont nettement supérieurs à ceux attribués aux adversaires et aux ennemis idéologiques et politiques...
Ainsi, l'alcool est concrêtement et réellement le premier ennemi des militants du progrès et du socialisme... Ce n'est pas la CIA qui a tué le camarade Aziz Belal à New York en 1982 ni les agents de Basri, mais bel et bien l'alcool... Quelques semaines avant la tragédie, Ali Yata lui a dit, dans le comité de rédaction d'Al Bayane:"... Camarade Aziz, le jus d'orange est au bout de la ruelle (Ledru Rollin) et il est très bon!..." C'est l'alcool qui a causé la perte du docteur Hédi Messouak, du professeur Mimoune Hébriche, de maître Med Anik et de bien d'autres...
Et dernièrement j'ai été scandalisé par les cuites publiques de Nabil Benabdallah, à Témara, à Nador... Et, comme je l'ai écrit à Abdel Ouahed Souhail (ministre du travail dans le 1er gouvernement Benkirane, lorsqu'il m'a demandé de revenir au parti :" Un ministre camarade ou pas qui se présente au Parlement complètement ivre ( Ce même Souhail) devrait présenter sa démission immédiate du gouvernement et des instances du Parti voire traduit devant un conseil de discipline... Au contraire, le camarade délinquant sera dans le fameux CP ( Conseil de la Présidence). Drôle de logique.
Avant de faire de la politique, les camarades devraient d'abord APPRENDRE A BOIRE par conséquent à ne pas mépriser la majorité du peuple qui continue à croire que boire c'est faire une mauvaise action et qu'un individu qui boit ne peut pas être bon et bien...
à suivre
C'est en grande partie grace à l'alcool que les indiens d'Amériques ont été christianiés
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